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| Je te défis de me défier ► Eden | |
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Invité Invité
| Sujet: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 0:07 | |
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Steph
| Nom: Whisler Prénom: Eden Ôlynëla Âge: 26 ans Origine: Anglaise. Métier/Étude: Je travaille au sein d'une agence financière Groupe: Power is obsession avatar: La belle, la grande, l'unique Mischa Barton |
Je n'ai rien à envier... La jalousie qui se tait s'accroît dans le silence. ”
Cristalline Quand on avoue sa jalousie, on l'a déjà dépassée. Les vraies jalousies, on n'en parle pas. Mais pourquoi il se laisse tourner autour comme ça ?! Il était censé être avec vous ! Vous restez dans votre coin à ruminer, ou vous lui en faites voir de toutes les couleurs ? Franchement cela m’est bien égal, qu’il fasse ce qui lui chante. L’amour je n’y crois absolument pas, alors lorsque je suis avec un homme on ne peut pas dire que se soit un amour extrêmement fort qui nous lie ! Il y en a eu qu’un, Hayden ! C’est le seul homme auquel j’ai été assez attaché un jour pour parler de jalousie. Il faut dire que nous l’étions assez tous les deux, c’est en grande partie à cause de cela qu’il a fallut mettre un terme à notre relation. J’aime ma liberté alors jamais je n’accepterais que l’homme avec lequel je suis m’en prive avec pour seul raison la jalousie. Alors comme je ne supporte pas cela, je ne l’inflige pas à autrui ! Qu’il se laisse donc tourner autour si il le désir c’est le dernier de mes soucis, seulement si elle me titille un peu trop, il est sûre qu’elle finira par me trouver ! Cet héritage, il devait te revenir à toi ! Mais il a préféré lui donner, à lui... Alors ? Qu'est ce que ca fait ? Je dois dire que si l’on m’avait posé cette question il y a quelques années j’aurais sans nul doute répondu que cela ne me dérangeait absolument pas. J’étais tellement lié à mon frère, qu’il aurait bien pu tout avoir sans que cela ne me touche guère. Aujourd’hui la donne a un peu changé, il m’a rejeté comme une moins que rien… Je dois dire que s’il obtenait la totalité de l’héritage une forme de jalousie presque maladive s’emparerait de moi c’est une chose quasi-certaine ! Je ne lui en veux plus de m’avoir laissé c’est son choix, mais ce n’est pas pour autant que je n’existe plus ! Alors si il faut me battre pour avoir ce qui m’est dû je n’hésiterais pas une seule seconde, ce ne sera pas pour l’argent, simplement une petite vengeance peut-être ! Il a eut une promotion ? Vous êtes plutôt du genre "il a du coucher pour l'avoir" ou " c'est vrai qu'elle a du potentielle... Mais qu'elle g*rce " ?Tout dépend de la personne. Il est vrai que j’aurais plus tendance à dire « c'est vrai qu'elle a du potentielle... Mais qu'elle g*rce ! » après tout, il y a des personnes qui ont du talent, je ne peux pas me permettre de mettre tout le monde dans le même sac ! Seulement je dois bien avouer que j’aurais, durant quelques temps, beaucoup de mal à l’accepter. Après tout je vis entièrement pour mon emploi, pour monter en grade, pour être la meilleure… alors si quelqu’un devait me passer devant très facilement je ne pourrais pas m’empêcher d’avoir une certaine rancœur, sans pour autant affirmer qu’elle ou il a couché avec le patron pour en arriver là ! Quand on enlève le masque... Je partis dans les bois parce que je voulais vivre sans me hâter. ”
Cristalline Ton personnage serait-il prêt a.... ° Séduire un(e) homme/femme riche uniquement pour son argent ? Oui, j'en suis totalement capable ! L'amour n'est de toute façon pas fait pour moi, alors autant séduire quelqu'un pour pouvoir en tirer profit non ?! ° Sortir avec le/la petit(e) ami(e) de son/sa meilleur(e) ami(e) ? Non, les amis n'ont pas de prix, alors pourquoi les mettre en péril pour un homme ? ° Mettre ses meilleurs amis dans le pétrin uniquement pour réussir ? Non, bien que ma réussite est très importante pour moi je n'ai pas besoin d'écraser mes amis pour cela. ° Coucher pour avoir une promotion ? Non, bien que je pourrais très bien le faire, seulement j'aime garder un minimum de fierté. ° Détruire la réputation de quelqu'un par vengeance ? Si je ressens un besoin de vengeance c'est que la personne m'a réellement blessé, donc oui j'en suis totalement capable ! ° Faire du chantage, même à ses amis ? Faire du chantage oui, mais à mes amis non. ° Travailler d'arrache pied pour être le meilleur ? Oui, sans nul doute ! Je ne compte plus les heures supplémentaires à présent ! Ma vie est mon emploi, mon emploi est ma vie ! ° Détruire les travaux de ses collègues pour avoir du mérite ? Non, j'aime avoir des concurrents de taille pour les détruire à la loyale ! ° Pire, voler les travaux de ses collègues pour recueillir les mérites ? Non, aucunement. ° Tuer quelqu'un pour de l'argent, pour une promotion ou pour une réussite scolaire ? Non, je n'ai pas besoin d'avoir du sang sur les mains pour monter en grade ! ° En venir au poing avec son pire rival ? Non, j'ai beaucoup de défaut, mais en venir au main jamais allons ! Les mots peuvent faire bien plus de mal ! ° Révéler des secrets sordides sur des amis pour les couler ou pour faire casser leurs couples ? Sur des amis jamais, mais sur d'autres personnes pourquoi pas ! ° Engager un détective privé pour suivre ses rivaux potentiels ? Oui, j'en suis totalement capable ! C'est un moyen de prendre un peu d'avance... ° Ridiculiser ses collègues pour se sentir supérieur ? Qui n'a pas besoin de ressentir se sentiments de supériorité de temps à autre ? Mais dit moi ... Qui es tu ? Pseudo ou Prénom : ahah tu aimerais le savoir hein ?! Bon bon... Sweety_* sur PRD sinon Kbotine ou Boutch' le plus souvent ! Âge : 20 bougies dit-on o.O Comment as-tu connu le forum : En fait ca à commencer un jour... #SBAFF# sur PRD ! Que penses tu du forum : J'ai déjà eu le loisir de faire l'éloge du contexte sur PRD, mais je dois dire que le design est vraiment magnifique. Je ne m'attendais pas du tout à cela et je dois dire que c'est vraiment une agréable surprise .
Dernière édition par Eden O. Whisler le Jeu 17 Déc - 22:41, édité 5 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 0:08 | |
| Je ne suis pas jaloux, Je suis moi.. Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. ”
Misery Angel | Berwick, avec Timéo assise sur les bords du lac, le dix-neuf mai mille neuf cent quatre-vingt treize}
« Je suis nul Tim’ ! Je n’y arriverais jamais… ils attendent bien trop de moi ! « Ne dis pas de bêtise Eden, tu es bourrée de qualité… « Tu dis n’importe quoi ! « Non petite sœur, regarde tu es … « … complaisante … En effet, la demoiselle a toujours été aimable, serviable avec tout le monde. Il faut avouer qu’elle ne va pas vraiment vers les autres préférant de loin son petit monde. Seulement lorsque l’on a besoin d’elle Eden se montrera toujours présente le sourire aux lèvres. Des amis elles en a toujours eu très peu, voir même pas du tout, trop rêveuse et aérienne, elle n’a jamais eu les pieds sur terre, alors elle a toujours fait son possible pour venir en aide aux siens lorsqu’ils étaient dans le besoin. Eden n’a pas changé avec le temps, elle se laisse difficilement approcher aux premiers abords et pourtant elle ne recherche que les nouvelles rencontres. Là n’est pas le sujet je vous l’accorde, passons donc à la suite si vous le voulez bien !
« … pondérée … Eden a toujours été calme, malgré les apparences, par moment, de garçon manqué que l’on pourrait lui prêter elle ne s’est jamais battu ou autre, même durant son plus jeune âge. Il faut dire aussi qu’en Angleterre il y a toujours ses vieux clichés, pour certains révolus en France, qui ne cautionnent pas vraiment ce genre de comportement. Une fille qui se bat en France est déjà mal perçu, bien qu’entrée dans les mœurs, alors imaginez un instant cette scène en Angleterre au début des années quatre-vingt-dix… Aujourd’hui cela n’a pas vraiment changé. Bien qu’elle peut se montrer très violente verbalement lorsque l’on cherche à lui faire du mal, elle ne lèvera jamais la main sur personne. Et puis elle sait combien les mots peuvent être bien plus blessant que des actes. « … jovial … La jeune femme est en effet une personne que l’on peut, aisément, qualifier de jovial. Vous ne la verrez jamais sans au minimum un petit sourire aux lèvres. Eden rit un peu pour tout et pour rien, surtout pour rien il faut bien l’avouer. Elle a beaucoup d’humour et n’est pas du genre à s’énerver pour rien. Certains prennent cela parfois pour du mépris, on doit bien avouer qu’étant assez moqueuse c’est parfois justifier, mais le plus souvent son sourire est preuve d’une grande sincérité. Son magnifique sourire lui sert également à se protéger, en effet, sourire pour ne pas souffrir. C’est un peu étrange comme façon de penser, mais c’est elle ! Quelque chose en elle est brisée, tout cela peut justement se lire dans son sourire, mais pour cela il faut réellement la connaître, savoir qui elle était autant dire que seul son frère peut saisir la nuance…
« … réfléchie … Cela rejoint un peu ce qui a était dit auparavant, mais cela est à préciser tout de même. Eden n’est pas du tout impulsive, bien sûr il lui arrive de prendre des décisions sur le vif lorsque cela ne met pas en péril la survie des siens, de son clan ou tout simplement la sienne. Seulement bien souvent avant de donner une quelconque réponse, Eden préfère se laisser le temps de la réflexion afin d’être sûre de ne pas faire d’erreur, bien qu’aujourd’hui qu’est ce que peut lui coûter une erreur ? Elle sait pertinemment que les erreurs font avancer, grandir, évoluer. La jeune anglaise adore prendre des risques, se mesurer à des forces bien plus puissantes qu’elle telle que le vide par exemple, seulement elle ne les prend pas sans avoir murement réfléchie. Complexe à cerner ? Vous en êtes qu’à vos débuts !
« … robuste … Il est vrai que Eden est quelqu’un de très robuste psychologiquement parlant. Peu importe l’épreuve qu’elle se devait d’affronter, la jeune femme n’a jamais fait demi-tour et a toujours fait face. Pas forcement avec le sourire nous vous l’accordons, mais certaines situations ne le permettent pas forcement. Une chose est sûr c’est qu’elle s’en est toujours sortie. C’est surement ce qui l’a fait gagner en maturité aussi. Il y a que le départ subit de son frère que la jeune femme n’a jamais réussi à accepter. Si aujourd’hui elle c’est un tant soit peu fait une raison quant au fait qu’il se pourrait qu’elle ne lui adresse plus jamais la parole, tout n’a pas était si simple par le passer. Enfin cela est une toute autre histoire que nous aborderons lorsque le moment sera venu !
« ... et cela n’est qu’une infime partie de toutes les richesses que tu as à offrir ’den « Tu n’es pas assez objectif Tim’ ! Regardes, je suis aussi… « … renfermée… Certes durant son enfance la jeune Eden était déjà assez renfermée sur elle-même dû à toutes les activités extra scolaire qu’elle devait mener à bien, les sorties entre amis n’étaient pas vraiment au programme. Elle n’a jamais eu beaucoup d’ami préférant de loin un rapport sincère avec peu de personne, que des rapports hypocrites avec une foule « d’ami ». Peu de personne la connaissait réellement, avant, mis à part son frère. Aujourd’hui autant dire que la jeune femme est assez solitaire dû premièrement au don qu’elle a, à ne pas aller vers les autres et dans un second temps le fait qu’elle soit rêveuse et toujours dans son monde à fait que Eden a pris davantage de recule, encore, avec autrui. Cependant elle n’en reste pas moins sociable, si aller vers les autre lui est difficile cela ne la dérange absolument qu’une personne inconnue vienne lui adresser la parole, bien au contraire Eden sait très bien que l’on apprend beaucoup d’autrui !
« … têtue… Là est surement son plus grand défaut, sans aucun doute possible même ! En effet, lorsque la jeune femme a une idée en tête il est difficile, voir très difficile, de lui enlever. Cela peut-être sur n’importe quel sujet qui peut aller de la couleur du T-shirt que portait X. ou encore d’un sujet beaucoup plus grave et sérieux. Eden a beau être très têtue elle sait cependant reconnaitre ses torts lorsque vous pouvez lui prouver qu’elle a tort bien entendu, mais avant cela vous devrez redoubler d’acharnement afin d’être un minimum convainquant à ses yeux. Tout cela est en réalité un vrai jeu de patience, alors pour les impatients il ne sert à rien d’essayer une discussion quelconque avec elle au risque de la braquer. A défaut de preuve la seule chose que vous pouvez faire ? … Lui donner raison est surement la meilleure des solutions car, même si de son côté elle n’en a aucune non plus elle ne laissera pas pour autant tomber. Joueuse ? La voilà donc démasqué.
« … très nerveuse … En effet, la jeune femme est toujours en train de bouger ! Eden ne sait absolument pas rester en place. Il faut toujours qu’elle bouge dans tous les sens, lorsqu’elle étudiait encore rester assise sur une chaise durant plusieurs heures durant relevait d’un véritable cauchemar pour la demoiselle et l’entourage aussi. Eden adore le sport, elle en fait constamment, seulement son activité est assez récente, car lorsqu’elle était encore enfant elle n’en avait pas vraiment l’occasion. En effet, à part la danse toutes les autres activités se devaient d’être culturelles. Le terme très nerveux pour la jeune femme peut aussi se caractériser dans son comportement. Lorsque Eden trouve une remarque déplacé en vers sa propre personne ou bien autrui elle n’hésite pas à le faire savoir et partir un peu vite dans tout un tas de réflexion tout aussi déplacé … personne n’est parfait !
« … volubile… Alors celui oui il lui va parfaitement bien, Eden parle énormément beaucoup et surtout à un débit de parole très rapide ! Pour la faire taire définitivement il faudra jouer de plus d’un stratagème, quant à lui faire parler un peu moins vite il vous suffira de lui faire répéter ses paroles plusieurs fois, Eden finira par en avoir assez jouer les « perroquets », comme elle nomme cela vulgairement, et parlera un peu plus calmement et posément. Si vous êtes comme elle n’hésitait pas à lui parler, elle se fera une joie de vous écouter et prendre part au débat. En revanche si vous aimez le calme et la solitude gardez vos distances… sinon c’est à vos risques et périls !
«… colérique… Il n’y a rien à redire là-dessus, ce défaut lui convient parfaitement. Ce défaut Eden, l’a surtout gagné après être partie du domicile familiale. Il faut dire que lorsqu’elle était encore simple enfant, la jeune demoiselle n’avait pas vraiment son mot à dire et encore moins à faire une quelconque crise de colère. Aujourd’hui Eden se rattrape un peu sur le passé. En effet, quelque chose ne lui plait pas ? Et bien elle n’hésite pas à le faire comprendre, ne prenant pas peine de s’expliquer c’est pour les cris qu’elle opte en règle général… Il ne faut pas longtemps à la demoiselle pour passer d’un état très calme à un état assez colérique. Seulement cela n’est pas à confondre avec le fait que Eden soit de quelque forme que se soit un minimum capricieuse car ce n’est pas du tout le cas !
« Stop ! Stop ! ’den ! Nous sommes partis dans des débats inutiles ! Tu dis ne pas pouvoir y arriver mais est-ce que tu aimes ce que tu fais ? « Laisses-moi t’expliquer ! J’aime… Voilà donc Eden partie dans un long discoure sans fin… En effet, la jeune demoiselle aime tout un tas de chose qui va du plus rationnelle au plus irrationnelle. Des exemples ? Bien sûr ! Pour commencer nous pourrions dire qu’elle est adepte de la nage. Cela ne date pas d’hier une fois de plus, lorsque Eden était jeune c’est très souvent qu’elle se rendait sur les bords d’un lac non loin de chez elle pour y faire quelques longueurs. Elle aurait pu aller comme tout le monde dans une piscine municipale, cependant rien n’a d’égal avec la liberté que l’on peut ressentir lorsque l’on est seule sur les bords d’un lac. Aujourd’hui cela n’a pas changé, nager est en quelque sorte une libération pour la demoiselle, un moyen d’être « libre » !
La campagne ! Eden adore la campagne, ce sentiment de liberté jamais égalé, courir à travers champs sans aucun but, ni aucune cause qui a-t-il de mieux sur cette pauvre terre ? Etre en communion avec elle-même, seule avec ses pensés, ses doutes et ses envies… Il faut dire que c’est à la campagne qu’elle a grandie, des arbres, des champs… Juste elle est la nature, un sentiment incomparable pour notre jolie blondinette. Ceci dit, elle apprécie également la ville, enfin surtout Londres. La capitale anglaise lui offre un terrain de jeu qui n’a aucun égal. Il y a tellement de chose à découvrir qu’il est difficile d’en faire totalement le tour.
La musique est une grande partie de sa vie, autant enfant, bien que cela fût devenu une obligation à cette époque, qu’aujourd’hui. La jeune Eden aime l’écouter bien entendu, mais ce qu’elle aime par-dessus tout cela c’est de la jouer. Se retrouver derrière son piano donnant ce qu’elle possède à travers quelques pauvres notes de musique. Eden ne sait jamais vraiment dévoilée à quiconque alors la musique est pour elle le seul moyen qu’elle est trouvée pour communiquer en quelque sorte avec le monde qui l’entour. Pour cela elle joue de temps à autre dans l’un des bars de la ville, lorsque le patron, qu’elle connait plus ou moins, le lui permet…
Eden adore également l’écriture. La jeune femme aime créer de nouvelles histoire, entrer dans un tout autre monde. Elle n’écrit jamais chez-elle, quatre murs l’oppressent. Alors dès qu’elle a un peu de temps libre la jeune femme sort pour écrire. Assise à l’abri des terrasses des cafés l’hiver, sous un arbre dans un jardin public de la ville en pleine été… Eden n’a qu’un espoir, un jour pouvoir publier un livre, seulement étant assez pessimiste et doutant beaucoup du talent qu’elle peut avoir, elle sait que au fond elle n’en aura sans doute jamais le courage. Enfin elle en reste pas moins persévérante alors qui c’est ce que l’avenir lui réserve.
La jeune femme apprécie plus que tout la franchise, autant dans son entourage que chez les personnes qu’elle se contente de côtoyer. En effet, pour elle cela est la base même de la communication, comment voulez vous parler avec quelqu’un sans être sincère. Il est sûr que certain arrive à le faire avec beaucoup de réussite seulement Eden est plus du genre à les mépriser. Voilà donc la seule qualité qu’elle vous demandera pour faire partie de ses amis. Après tout les amis sont des personnes intimes à nos vies… Cela est un tout autre débat !
« En revanche je n’aime pas… La jeune demoiselle n’aime pas vraiment le soleil, non elle ne joue pas les Dracula moderne cloîtré dès qu’un rayon pénètre l’épaisse masse nuageuse. Si la jeune femme n’aime pas cet astre lumineux c’est simplement qu’elle a beaucoup de mal à supporter la chaleur que celui ci dégage. Il faut dire qu’elle nous vient tout droit du nord de l’Angleterre, alors même si les clichés ne sont pas toujours fondés celui là l’est plus ou moins. La jeune femme aime la pluie, la neige, mais pas la chaleur, si vous voulez ‘emmener en vacances pensez donc plutôt au pays nordique au risque dans le cas contraire qu’elle ne daigne pas sortir !
Eden ne mange pas de chocolat. Pas parce qu’elle suit un régime alimentaire très strict qui lui empêcherait de manger quoi que se soit dans ce style. Non, loin de là ! Pourquoi elle n’en mange pas alors ? Simplement parce qu’elle n’aime pas cela du tout ! Le goût, l’aspect… c’est un tout. Bien qu’elle ne soit pas bien difficile et assez gourmande, il est impossible de lui faire avaler du chocolat… Vu sous cet angle autant vous dire que c’est un calvaire lorsqu’elle se met à faire des courses… Avouez qu’il est difficile de trouver quelques chose de sucrée qui ne contient pas la moindre trace de cacao.
La danse… oui lorsqu’on la connait cela peut paraître étonnant car Eden pratique ce sport, seulement elle ne l’a jamais fait pour elle. Si l’on tente de résumé brièvement, lorsque la jeune femme était encore enfant, sa mère l’avait inscrite en cour de danse. Il fallait qu’elle soit la meilleure… comme partout, cependant la jeune femme n’a jamais fait d’effort dans cette matière. La danse a donc bien souvent été un sujet de discorde chez eux. Aujourd’hui si elle pratique encore ce sport s’est simplement pour gagner sa vie, afin de subvenir à tous ses besoins. De plus depuis le temps qu’elle s’entraine son niveau est parfait.
La jeune femme ne supporte pas être dans un endroit clos, vous l’aurez donc compris elle est claustrophobe. Se sentir oppressé l’insupporte au plus haut point. Eden peut devenir très méchante dans ses moments là, pas par plaisir simplement c’est ainsi qu’elle exprime sa peur. Pendant que l’on y est la jeune demoiselle a également le vertige, elle ne peut pas passer près d’un troue dans la chaussée, marcher sur les bords d’un fleuve ou encore marcher sur les bords d’une falaise. Pourtant ses une peurs qu’elle s’amuse à braver dès qu’elle le peut. Oui cela peut paraitre très étrange, mais c’est ainsi. Oh ! Oui encore une dernière chose elle a une sainte horreur des volatiles en tout genre, lorsqu’elle vagabonde dans les rues et qu’un pigeon ou autre oiseau prend son envole à ses côtés elle ne peut pas s’empêcher de lâcher un petit hurlement ce qui en règle général, fait bien rire son entourage !
« Bon, bon nëla’ c’est bon j’ai compris, tu es vraiment étrange comme fille ! Rentrons les nuages se font menaçant ! « Je ne suis pas étrange… Tu as raison rentrons !
Dernière édition par Eden O. Whisler le Jeu 17 Déc - 13:25, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 0:16 | |
| Ma vie est succession de péripéties.
Chaque biographie est une histoire universelle. ”
Chamallow* Dans la vie il y a ses moment fuguasses auxquels nous attachons que très peu d’importance, pourtant ils peuvent se montrer déterminants. Un geste, un mot, un regard, un sourire… tant de signes auxquels nous attachons que très peu d’importances et pourtant. Un instant, une seconde, une minute… lorsque les aiguilles de l’horloge que l’on chéri tant, arrêtent leurs courses folles, lorsque ses instants pourtant si fuguasses nous donnent l’impression de s’égrainer avec une lenteur extrême. Sans que l’on s’en rend compte ses moments sont déterminants, ils nous marquent d’une manière ou d’une autre au fer rouge. Ils restent gravés dans notre mémoire à jamais, car avec eux sont apparus nos plus grandes joies, nos plus grandes tristesses, nos plus grandes blessures, nos fêlures… Nous ne pouvons jamais oublier ses instants, ils sont en nous et font ce que l’on est aujourd’hui. Toute tentative d’oublie se soldera en un échec ou alors en un mensonge fait à nous même. Ses moments sont en nous, ils nous suivent, nous poursuivent et ressurgissent de manière totalement impromptue, c’est eux qui régissent nos vie. Seulement ils nous aident à grandir, à éviter les erreurs ou alors au contraire nous font tomber bien bas. Beaucoup en sortent très amochés, aigries, détruis par une vie bien trop difficile, trop brusque, trop douloureuse, ses personnes deviennent livides, ils ont oubliés la naïveté de l’enfance, ils ont oubliés la définition même de la vie. Puis il y a les autres, ses personnes qui trouvent la force de se battre afin de se relever. Ses personnes ont tout compris ! Ils sont beaucoup plus fortes, beaucoup plus combatives, ils ont simplement grandis… Le sourire aux lèvres et le cœur en berne ils avancent à leur rythme, mais qu’importe ! Ils avancent… Que l’on accepte ou non, ses moments sont là ! J’ai appris à vivre avec, comme tout le monde je suis tombée et comme certains je me suis relevée. La vie ne me fait pas peur, elle ne me fait plus peur. Aujourd’hui j’attends ses moments fuguasses afin de grandir. Je n’ai pas changé, si ce n’est que j’ai appris à les appréhender. Ses gestes, ses mots, ses regards et ses sourires, je les attends… J’ai besoin d’eux pour mon bonheur, c’est eux qui régissent ma vie… ”Chapitre 1 C'est à la naissance que commence la vie. ” Nous voici un certain dix-neuf janvier mille-neuf-quatre-vingt-quatre, à Berwick un petit village de Angleterre. Les premiers flocons d’un hiver rude ont commencés à s’abattre durement sur la région depuis déjà quelques jours. Rendant, par la même occasion, impraticable toutes les routes qui mènent à la grande ville la plus proche, pour se ravitailler ou simplement demander de l’aide si nécessaire, sait-on jamais. Les derniers rayons de soleil, légèrement faiblards dû à la saison, partent trouver refuges derrière les grands arbres qui, ensemble, forment une épaisse forêt dense non loin de la maison des Whisler. C’est dans cette ambiance morose voir un peu sinistre que la jeune Ôlynëla Whisler a choisi pour accoucher. Nous sommes au début des années quatre-vingt, il n’est donc pas encore permis à cette époque à une femme venant d’un milieu modeste d’accoucher dans une clinique, cela coûte beaucoup trop cher pour les faibles revenus du couple. C’est donc seule accompagnée d’une voisine que la jeune maman accouche difficilement. Dans le silence religieux du lieu, seul les cris de douleur de la jeune Ôlynëla se font entendre, déchirant ainsi tout calme jusqu’à ce que ceux d’un nouveau né viennent si joindre, complétant ainsi d’un cri aigu ceux de la jeune mère. « Daniel, Ôlynëla … vous venez d’avoir un garçon… La voisine, d’une soixantaine d’année certainement du moins c’est l’âge que semble avoir laissé le temps sur son visage fripé, ne fait preuve d’aucune émotion lorsqu’elle attrape l’enfant en annonçant la nouvelle aux jeunes parents. Peut-être est-elle agacée d’avoir était dérangée à une heure si tardive, préférant certainement et de loin la chaleur de sa cheminée aux cris de douleur d’une jeune femme en plein travail… Qu’importe, la joie peut se lire sur le visage des jeunes parents seul cela semble compter à cet instant présent. Le jeune papa semble fière, un premier enfant, un fils que pouvait-il espérer de mieux ? Prenant la parole le premier il ne semble pas pouvoir contenir sa joie, au grand drame de la vieille femme qui, visiblement, a oublié la joie que cela procure ou peut-être sachant déjà que trop bien les difficultés pour élever un enfant qui attendaient le couple par la suite… « Un garçon ! Il s’appellera Timéo… « J’ai mal ! Mon ventre me fait souf… Ne sachant finir sa phrase, la jeune maman ne peut s’empêcher de lancer un cri de douleur qui vint subitement recouvrir ceux du nouveau né. La voisine, aux traits jusqu’à présent fermés, semble soudainement inquiète, s’approchant avec prudence d’Ôlynëla, la vieille femme comprend rapidement ce qui s’apprête à arriver. Laissant son épais gilet retomber sur le sol, elle retourne au chevet de la jeune femme essayant entre deux cris de lui expliquer. Quelques minutes après, aux cris du petit Timéo vient s’ajouter ceux d’un second enfant. La vieille voisine un peu dépitée attrape alors ce nouveau né et le présente à la jeune Ôlynëla en lui tendant délicatement… « C’est une petite fille cette fois ci… La jeune maman tourne alors difficilement la tête jusqu’à la fenêtre, comme pour trouver une quelconque réponse dans le ciel obscure, mais rien ne vient, le ciel noirâtre est démuni de toutes étoiles, seul quelques rayons de lune arrive à se frayer un chemin. « Eden… Elle s’appellera Eden, elle était tout aussi inespérée que ce petit clair de lune… Qu’en penses-tu Dan’ ? Le jeune papa se contente d’acquiescer d’un bref signe de tête, encore sous le coup de la nouvelle. Il faut dire que le jeune Daniel se démène pour apporter un salaire convenable à la maison, si il était certain de pouvoir contenter un enfant avec les maigres revenus, il doute soudainement pouvoir y parvenir avec deux enfants. Qu’importe après tout cela ne vient en rien anéantir le bonheur qui semble englober le jeune couple à cet instant précis. Un garçon, la force la protection et bien souvent la désobéissance… Une fille, la pureté, la grâce, la réussite… De bon vieux clichés pourtant bien fondés… L’enfance devait alors commencer pour les deux jumeaux, une première épreuve à passer… Chapitre 2 L'enfance est source de nos plus grands malheurs. ” | Berwick, maison familiale, le dix-neuf janvier mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix} Les années ont passés, nous voici à présent le dix-neuf janvier mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix, soit exactement six ans après l’accouchement houleux de la jeune Ôlynëla. La famille est bien unie, des liens forts et fraternels se sont crées entre Eden et son frère. Il faut bien avouer qu’ensemble ils font toujours les quatre-cents coups. Le petit garçon a déjà le don de mettre en rogne leurs parents tandis qu’Eden le suit toujours gaiement dans chaque bêtise qu’il entreprend. Le sol, à l’extérieur, est recouvert d’un épais manteau de neige blanche à vous brûler les pupilles si vous la fixez bien trop longtemps. Assise sur le rebord de la fenêtre la petite fille guète le retour de son père, en dessinant tout et n’importe quoi sur les carreaux avec la buée. Ce dernier lui avait promis de rentrer rapidement afin qu’ils puissent ensemble fêter les six années déjà passées des deux enfants. Alors que le soleil commence à se coucher derrière l’épaisse forêt, Eden commence quant à elle a s’impatienter de plus en plus… seulement l’horizon semble toujours aussi plat, sans la moindre trace d’une quelconque vie humaine. « Viens jouer Eden ! « Non j’attends Papa ! « Il ne viendra pas comme d’habitude… Viens t’amuser ! « Papa l’a promis… Oui, Daniel, car tel était son prénom, avait promis à sa fille qu’il chérissait tant, qu’il serait rentré pour manger avec eux le gâteau ainsi que pour leurs offrir leurs cadeaux. Pourtant la voix d’Eden à ses dernières paroles se fit cassée, en effet croire que son père rentrerait avant le coucher du soleil était utopique. Trop prit par son emploi afin de subvenir aux besoins des siens et leur offrir le meilleur il en délaissait peu à peu ses enfants ainsi que sa femme. Les faibles rayons de soleil avaient laissés place à présent au faible clair de lune qu’une nuit d’hiver peu offrir. La pendule quand à elle avait du s’affoler, car à présent elle affiche presque vingt heures, une voie s’élève alors troublant la quiétude du lieu, rien d’alarmant c’est simplement la jeune maman qui appel les deux enfants afin qu’ils viennent s’attabler. Sentent alors un doux liquide parcourir sa joue et lui brûler les yeux, la petite fille se relève afin de rejoindre la salle à manger en profitant par la même occasion pour effacer d’un revers de main l’intruse qui avait volontairement échappé à ses grands yeux verts. Le repas terminé et dans une dernière note d’espoir la petite fille regarde en direction de la porte. C’est dans un grand fracas que cette dernière s’ouvre brusquement laissant apparaître dans une bourrasque de neige, une silhouette parfaitement dessiné… Bondissant de sa chaise la petite fille par alors rejoindre en courant cette même silhouette ne manquant pas de lui sauter dans les bras. La morosité d’Eden à cet instant disparait totalement, alors que Timéo quant à lui semble plus surpris. « Tu as cru que je ne serais pas là pas vrai ? Eden secoue alors la tête positivement peu fière d’elle d’avoir douter de la parole de son père. Le sourire retrouvé la petite fille retourne alors à table afin de connaître qu’elle serait son cadeau cette année. A l’annonce de son père, les sourcils d’Eden s’arquent légèrement… Des cours de piano et de danse ? Pas de jouer ? Pas de poupée ? Simplement des apprentissages de plus ? Voyant la moue de sa fille le jeune papa lui explique brièvement qu’il lui donne juste une chance d’être encore meilleure, que c’est le moyen qui lui est donné de rendre fière ses parents. La fierté à six ans qu’est ce que cela signifie vraiment ? Eden est déjà très bonne n’est ce pas déjà une raison de fierté suffisante pour des parents ? Pas pour les siens en tout cas. Car oui à l’école elle est déjà l’une des meilleures, mais pour Daniel est Ôlynëla il faut que la petite fille soit LA meilleure c’est tout… | Berwick, 16h30 à la sortie de l’école, vingt-cinq juin mille-neuf-cent-quatre-vingt-treize} « ‘den comme d’habitude, tu ne dis rien aux parents… « Ti… Trop tard ! Haussant les épaules la petite fille regarde son frère courir, il est déjà bien loin et il n’entendrait de toute façon pas sa demande. Où peut-il bien être parti en courant si vite ? La réponse est simple pourtant… il est simplement parti rejoindre ses amis afin d’aller s’amuser au lac, comme chaque soir à la sortie de l’école ! Reposant son petit sac sur les épaules la petite fille commence son petit bout de chemin qu’elle a à faire jusqu’à la salle de danse où elle devait se rendre comme pas mal de soir dans la semaine. « Il faut que tu sois la meilleure de toute… » Les paroles de son père raisonnent alors dans son esprit avec une clarté tel qu’elle dû se retourner afin d’être sûr qu’il ne soit pas là. Eden a, à présent, un peu plus de dix ans, c’est la meilleure dans tous les domaines comme ses parents le désiraient. Au fil des années elle avait réussi à concilier toutes ses activités, seulement elle n’a pas d’ami… personne sur qui compter, sauf son frère qui est également son pilier, son modèle… La seule personne à qui elle voudrait ressembler, car oui avec ses fugues répétées, la liberté qu’il prend la rend définitivement envieuse ! Seulement, Eden ne veut pas décevoir ce père qu’elle chéri tant… « Hey ! Tu ne viens pas avec nous au lac ? « Non merci Oliver je dois… J’ai des choses à faire… « Mais ton frère… La petite fille n’attendit pas la fin de la phrase du jeune homme pour prendre le large. Son frère… Lui aussi se devait d’être le meilleur, seulement lui avait réussi à contourner la règle, la déroger, en se rendant qu’à un cours sur deux de sport ou encore de guitare… Eden n’avait pas eu se courage, par peur peut-être de décevoir son père, pour qui elle aurait fait n’importe quoi… même perdre son enfance ! Chose qui était en train de se produire. Eden n’a pas d’ami, comme préciser un peu plus tôt, elle ne sort jamais, les distractions se font rares… Elle sacrifie une enfance qu’elle ne retrouvera jamais simplement pour l’honneur d’un père et d’une mère, trop obnubilés par les apparences qu’ils en oublient le bonheur même de leurs enfants. Des parents égoïstes ? Sans nul doute… avec le recule cela est assez aisé de s’en rendre compte seulement demander à une enfant, qui veut simplement que ses parents soient fières d’elle, d’ouvrir les yeux c’est un pari bien compliqué… Chapitre 3 L'adolescence est le plus grand moment de liberté. ” | Berwick, 20h00 dans le salon de la maison familiale, quatre octobre mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix-huit} Eden arrive enfin sur le perron de la maison familiale, qu’a-t-elle fait de sa journée ? Elle a simplement pour une fois dans sa vie fait ce qu’elle voulait vraiment. La jeune demoiselle ne s’est donc pas rendue à ses cours quotidiens de danse et de piano. Pour une fois elle était passée outre toutes lois qui régies son enfance depuis bien trop longtemps. Eden n’avait rien fait d’illégal, la demoiselle avait simplement choisie un arbre en plein milieu d’une clairière afin de lire paisiblement, loin de tout bruit, loin de toute foule jusqu’au soleil couchant… Eden savait très bien qu’elle s’exposait aux foudres de ses parents dès qu’elle aurait franchie le seuil de la maisonnette, mais qu’importe durant quelques heures elle avait été libre… Poussant la grande porte en bois, une silhouette aux épaules carrées, semblait plantée au milieu du salon. Nul doute sur la personne, seulement entendant la voix de ténor briser le silence elle ne pue s’empêcher de frissonner quelque peu. « Je peux savoir où tu étais passée ? Et je t’interdis de me mentir… « Oh cela n’était pas dans mon inten… « Arrêtes ton charabia je me fous de tes intentions Eden où étais-tu ? Si seulement il lui avait laissé terminer sa phrase, il l’aurait su. Seulement le fait qu’il l’a coupe dans son élan d’explication pour laisser échapper une vague de colère. Brusquement la jeune demoiselle se sentie comme agressée, ne pouvant alors plus retarder le moment où elle allait lui déverser le flot de sentiment et de rancœur qu’elle avait garder pour elle que trop longuement, Eden planta son regard vert intense dans celui de son père avant de partir dans un discoure qu’elle savait déjà long, laborieux et inutile… « Mais c’est ça ton problème papa tu te fous de tout, d’absolument tout tant que cela n’affecte en rien le pseudo honneur de ta famille ! Quel honneur y a-t-il a rendre malheureux les tiens ? Je déteste la danse, tout comme le piano m’insupporte. Mais qu’en as-tu à faire ? Rien absolument rien. Timéo, Eden ce n’est pas comme si ! Timéo Eden ce n’est pas comme cela ! Timéo Eden vous représentez l’honneur de la famille ! Dis-moi à quel honneur tu fais allusion … puisqu’il n’y a jamais eu de famille… Il faudra changer de refrain… Papa ! Sur ses dernières paroles la jeune demoiselle passe brièvement devant son père afin de rejoindre sa chambre dans laquelle elle aurait de toute façon était condamnée à rester si son père avait réussi d’une quelconque manière que se soit à reprendre la parole. C’est dans un torrent de larme que la jeune Eden finie par s’endormir espérant ainsi que le lendemain ferait rapidement apparaître ses premiers rayons. La nuit fut courte pour notre jeune demoiselle… le clocher de l’église sonne à présent de ses sept coups indiquant qu’il est sept heures du matin environ. Ne s’attardant pas sur le levé comme elle peut le faire en temps normal et dans une discrétion de loup la jeune Eden rejoint la chambre de son frère. L’appelant d’abord en chuchotant elle ne constate aucune réaction de la part de ce dernier, Eden décide alors de le secouer légèrement tout en continuant à marmonner son prénom. Lorsque le jeune Timéo se réveilla en un même bond la jeune demoiselle sursauta retenant un léger cri. « Tu es dingue Tim’ tu as faillit me tuer… « Et toi tu m’as réveillé ! J’espère que tu as une raison valable sinon je vais regretter de ne pas être parvenu à te tuer… « C’est pas drôle ! « Bon d’accord ca ne l’est pas ! Maintenant tu peux m’expliquer ce que tu fiches ici ? « Partons… Partons loin d’ici, loin d’eux, loin de leurs obligations… Juste quelques jours ! « Je suis entrain de rêver, je le savais ! ‘den, ‘den, ‘den… « TIm’ ! Je suis sérieuse… Dis oui… s’il te plait… « Partir loin d’eux… Loin de leur dictature… Bien sûr que c’est oui ! « Je t’adore… « Hum… je le savais « Je te déteste... « Pas trop quand même ! La jeune demoiselle lâcha un léger rire qui traduisait aussi bien le soulagement que l’amusement. Son frère avait accepté c’est tout ce qui comptait… S’il avait dans le cas contraire refusé ? Eden aurait sans nul doute entrepris seule l’expédition, elle est déterminée et après ce qu’elle a dit à son père, la jeune demoiselle sait que rester dans cette maison cela revient à ce qu’elle se condamne seule ! Les deux jeunes quittent la maison ensemble comme ils le font en temps normal pour ne pas laisser planer le doute chez leurs parents, sauf qu’au lieu d’aller étudier, Timéo & Eden partent en direction de la gare afin d’y prendre le premier train en direction de l’inconnu. C’est ainsi que les deux jeunes ont commencé à fuguer, plus le temps passé, plus ils partaient loin et longtemps ne laissant rien paraître afin de ne pas donner quelconques indices à leurs parents sur une éventuelle date de départ. Eden ne suit donc plus sa scolarité normalement au point même de redoubler un classe, tout comme son frère, un déshonneur total pour Monsieur & Madame Whisler, mais Eden n’en a que faire… La seule chose qu’elle désire c’est d’être libre, libre de toutes contraintes, de toutes lois, de ses parents tout simplement… C’est ainsi que la jeune femme découvre aussi l’amitié, le rire, les pitreries… Eden se révèle même être un vrai petit clown à ses heures perdues, personne ne la connaissait ainsi tout le monde la découvre et elle-même se redécouvre… | Berwick, 5h00 dans la chambre d’Eden, dix juillet deux-milles-deux} « ‘den réveille toi… ‘den « Tu es dingue, tu as vu l’he… « Pas si fort tu vas ameuter la maison entière ! Partons… « Ne venons nous pas de rentrer ? « Non, partons définitivement… La jeune demoiselle secoua brièvement la tête, ouvrant par la même occasion complètement ses beaux yeux verts, pas certaine de très bien comprendre ou Timéo voulait en venir. Partir… oui ! Définitivement… certainement, mais comment feront-ils pour vivre ou simplement survivre, car Eden en est sûre, compter sur leurs parents n’est même pas imaginable. Et puis pour commencer où iront-ils ? Toutes ses questions doivent surement passer par la même occasion dans son regard, car son grand-frère semble avoir compris les doutes de la jeune fille. Prenant place sur le lit non loin d’Eden, Timéo semble prendre une grande respiration avant de commencer son explication. « Ecoutes, ne t’inquiètes pas j’ai tout prévu ! J’ai pris contacte depuis quelques temps avec des cousins du côté de papa qui nous logerons un peu puis après on se prendra un appartement ensemble. En plus c’est Londres, pas de soleil ni de chaleur toi qui n’aime pas cela ! On sera libre des parents sans compte à rendre, on aura plus jamais à être les meilleurs… « Je suppose donc qui faut prévoir des vêtements de pluie… « Ce qui veut dire que tu acceptes ? « Je suis bien obligé, tu serais perdu sans moi ! Eden afficha un grand sourire amusé sur le coin de ses lèvres. Partir avec son frère, voilà une idée qui semble très alléchante et puis de toute façon elle ne se voit vraiment pas rester seule à Berwick alors que son frère sera loin, car oui elle le sait, quoi qu’il arrive il partira. Rassemblant quelques affaires la demoiselle s’apprête, le départ semble imminent… Dire que cela ne lui fait pas peur serait utopique, car la jeune femme est terrorisée par l’inconnu qu’il les attend. Après avoir prit quelques dollars à leurs parents les jeunes gens quittent Berwick, seulement la jeune femme n’aurait jamais osé imaginer qu’elle n’y remettrait plus jamais les pieds… Pour Eden partir était un besoin, mais elle savait que revenir serait également nécessaire pour elle plus tard, revoir ses parents, leur demander de l’excuser… Avec le recule tout cela parait tellement idiot à la jeune demoiselle. Après quelques jours de voyage, Timéo et Eden arrivent tout deux à Londres, les premiers jours furent assez compliqués essentiellement pour la demoiselle. En effet, Eden erre beaucoup dans les rues de la ville, regrettant la liberté que pouvait lui offrir les magnifiques étendues de champs et l’horizon à n’en plus finir. Après un mois dans la capitale anglaise, elle ne peut plus supporter les remontrances du cousin qui l’hébergent. Elles décident donc en accord avec son frère de s’offrir un petit appartement avec les faibles revenus qu’ils ont pour le moment. Leurs talents pour la musique et la danse, en ce qui concerne la jeune demoiselle, auront tout de même portait ses fruits car c’est ainsi que la jeune femme a réussi à se faire un peu d’argent en très peu de temps. Les mois s’écoulent très rapidement avec son grand-frère, Berwick lui manque, mais de moins en moins, elle s’est faite peu à peu aux immeubles qui déchirent le ciel grisâtre de la ville oubliant ses étendues verdâtres qu’elle a tant chéri dans le passé. Un jour, alors qu’elle était confinée dans l’étroite cuisine de l’appartement, son regard se pose sur une petit horloge, il est à présent tard et toujours pas de nouvelles de son frère, la jeune demoiselle aura tout fait, l’appeler, appeler quelques uns de leurs amis en vain… Eden finit par aller se coucher le cœur lourd, cela ne ressemble absolument à son frère, il a toujours prévenu lorsqu’il ne rentrait pas. Le lendemain l’appartement est toujours désert, la demoiselle part alors prévenir les autorités signalant ainsi une « disparition ». Alors que comme toutes les nuits depuis que son frère ne donne plus signe de vie, la demoiselle ne dort pas. Il est alors dans les alentours de deux heures du matin lorsque la porte d’entrée claqua dans un grand fracas. D’abord terrorisé Eden glisse la couverture jusqu’à recouvrir la moitié de son visage, la voix de son frère finit par raisonner dans l’étroit endroit. La jeune fille, se lève alors d’un même bond pour courir à ses côtés afin de se réfugier dans ses bras, comme pour lui signifier qu’elle avait eu peur pour lui. Alors qu’elle arrive à son niveau prête à trouver refuge dans le creux de ses bras, Timéo pose ses mains sur ses épaules afin de l’empêcher d’aller plus loin. Eden plonge alors ses grands yeux dans ceux de son frère, il semblait livide sans émotion… « T’approches pas Eden… Jamais… plus jamais ! Jamais il ne l’appel Eden sauf lorsqu’il est en colère… Ses mots ? Elle ne les comprend absolument pas, qu’a-t-elle fait ? Que lui est-il arrivé durant ses quelques jours d’absence ? Elle n’y comprend rien, le regardant rassembler quelques affaires à lui, elle si oppose fortement en se mettant devant, seulement il ne tarde pas à la repousser pour terminer ce qu’il avait commencé. La jeune femme ne le reconnaissait pas, blessée par le fait qui l’a repousse comme une moins que rien sans plus d’explications, elle tente de plonger son regard dans le sien afin de tenter de trouver des réponses à ses questions en vain. « Je veux des explications ! « Je n’ai pas à me justifier ! Bordel on n’est pas marier ! Fais ta vie et lâches-moi Eden ! « Tim’… « Je veux plus te voir, tu n’es plus rien pour moi ! Les larmes lui brûlent soudainement ses pupilles. Elle ne comprend pas, elle ne comprend rien. Lorsque la porte se referme dans un grand fracas elle se dirige précipitamment vers la fenêtre. C’était son frère, entre eux il y a toujours eu cette relation si fusionnelle, comment pouvait-il soudainement lui dire de telles affabulations ? Ce fut les dernières paroles qui ont pu s’échanger, la jeune femme ne l’a jamais retrouvé, ce n’est pas faute de l’avoir cherché… Sans lui sa vie n’a plus le même sens, pourtant il lui faut continuer, chose qu’elle fera avec une maîtrise extrême. Chapitre 4 Aimes la vie, elle t'ouvrira ses bras. ” | Londres, 17h00 à la sortie de l’agence financière, dix novembre deux-milles-neuf} D’un pas pressé la jeune femme avait presque franchie la grande porte d’entrée de l’agence financière dans laquelle la jeune anglaise travaille depuis quelques temps à présent, lorsque cette voix vint l’arrêter. Il n’était pas bien difficile pour elle de la reconnaitre, mais également de savoir ce qui aller sans suivre. Quelques employés de la section organisent une fête dans la soirée, elle a vu, dans la journée, des tas de prospectus défiler à ce sujet, puis bons nombres de ses collègues ne parlaient que de cela, lorsqu’ils avaient un instant pour se retrouver à la machine à café. « Ne t’époumones pas, je sais ce que tu vas me dire et j’ai autre chose à faire… « Tout le monde y sera ! Réflé… « Mais je ne suis pas tout le monde ! On se voit lundi ! Son appareil photo autour du coup et son sac en bandoulière, la jeune femme reprend sa course pour rejoindre la première ligne de métro qu’elle rencontrerait. Elle ne serait pas dire elle-même l’endroit qu’elle désire rejoindre… Comme a sa plus grande habitude la jeune femme s’engouffre toute entière dans les longs souterrains qu’offre le métro. Des personnes, exaspérées par sa lenteur, la double dans un long soupire d’exaspération, cela l’amuse plus qu’autre chose elle ne comprend pas vraiment comment ses personnes peuvent être si presser. Longeant l’une des grandes lignes du métro londonien, elle s’arrête à une station bien au nord de Londres. D’un pas rapide Eden se dirige vers un parc en plein cœur de la capitale anglaise. Peu connu des touristes elle y est un peu plus à l’aise pour prendre des photos que dans les jardins très populaires auprès de tous les touristes. Longeant de manière nonchalante l’étendue d’eau, ses pensées vagabondes, elle n’a absolument plus rien dans la tête la seule chose qui l’obnubile est de trouver l’instant à figer à jamais…Après une bonne heure de recherche le parc était presque totalement vide, le sifflement du vent dans les branchages lui provoquent quelques frissons, mais bien résolu à rester autant que possible « déconnecté » de la réalité, la jeune femme se pose au pied d’un vieux saule-pleureur. La nuit est tombée depuis un moment déjà et seuls quelques valeureux rayons de lune arrivent à percer l’épaisse masse nuageuse que la nuit a apportée avec elle. Sortant de son sac qui gît sur le sol un vieux cahier abîmé par le temps et un stylo, elle tente de chercher un petit rayon de lumière provenant d’un réverbère non loin d’elle. Beaucoup vous diront qu’elle est totalement inconsciente de rester seule dans un coin obscur en plein cœur d’un parc, Eden n’en a pourtant que faire. Assise au pied de son vieil arbre elle se lance dans un autre monde, dans son monde. Rien ne peut l’atteindre dans ses moments là, comme-ci elle était dans un autre monde, voyageant au fil des mots, elle est une toute autre personne, la rêveuse qu’elle peut être s’empare entièrement de son être laissant la jeune femme réfléchi et plus ou moins terre à terre qu’elle peut être de temps à autre. En réalité terre-à-terre Eden ne l’est pas tant que cela lorsqu’on la connait réellement, c’est une fille très utopique, ses envies et ses rêves sont parfois totalement disproportionnés ou en décalages avec la réalité. C’est aussi et surtout cela qui la rend attachante, elle peut passer des heures assise à une table sur la terrasse d’un café à refaire le monde… La jeune Anglaise n’est pas du genre à se poser des questions existentielles sur l’avenir et la vie, elle n’en a que faire, son seul plaisir est de vivre au jour le jour. Alors que la feuille blanche commence à se remplir de manière conséquente, une voie lointaine vint soudainement la sortir de ses songes. Celle-ci ne s’adressait pas à la jeune femme, mais elle ne pue s’empêcher de tendre l’oreille la voix lui est tellement… familière. Eden finie par lâcher tout ce qu’elle pouvait avoir dans les mains pour attraper son appareil photo afin de se pencher doucement entre les feuillages afin de voir les visages… Elle enlève le flash de son appareil pour être certaine de ne pas se faire voir, bon d’accord elle était assez téméraire, mais pas pour autant suicidaire. Cet homme elle le connait, elle en est certaine, rien que se voix avait suffit pour la renvoyer des années en arrière. Une douleur oppressante s’empare subitement d’elle, rassemblant ses affaires elle récupère son sac et quitte le jardin public qu’un pas pressé. Voilà qu’elle prend la fuite, elle-même ne se l’explique pas, cela n’est pas dans ses habitudes, surtout lorsqu’elle est dans l’attente interminable de réponses… C’était peut-être la seule chance qui lui serait offerte de comprendre, mais elle a préféré prendre la fuite… Ses pas continuent à s’enchaîner sans réellement sans rendre compte elle reprend le chemin du métro, ses pensées sont ailleurs au point de ne plus savoir diriger ses pas. Elle termine dans le métro, une nouvelle fois, ne sachant où se rendre Eden sort à la station «Lambeth Bridge», aller savoir pourquoi, elle a toujours aimé se pont. Il est magnifiquement éclairé la nuit, les péniches passent en dessous en toute discrétion, il est tellement simple de trouver un peu de repos à cet endroit de la ville. Appareil photo autour du coup prêt à être utilisé elle prend tous les clichés qu’elle peut, toutes les situations qui l’inspire. La jeune Anglaise termine assise sur la rambarde du pont, le dos contre l’un des gros piliers de maintien, une jambe de chaque côté du bord. Elle se repasse l’ensemble de ses photo faites dans la journée, entre celles mettant en valeur des pommes, pour le cours qu’elle avait eu dans l’après-midi, et les diverses photos qu’elle avait pu prendre des lieux qu’elle avait visité dans la journée, la demoiselle en vint aux photos de deux jeunes hommes en pleine discussion. Les photos sont très sombres, dû au manque de lumière et au flash qu’elle n’a pas pu enclencher. Elle tente tout de même un zoom naïf sur l’un des visages en particulier. Concentré sur ses recherches Eden sursaute légèrement en entendant une voix roque lui ordonner de descendre. Des ordres ? Cela fait bien longtemps à présent qu’elle n’y prête plus aucune attention. Levant tout de même un regard vers son interlocuteur elle vit la tenue très caractéristique des agents de paix londoniens. De quoi a-t-il peur ? Qu’elle soit l’une de ses folles totalement inconscientes de la chance qu’elles ont d’être vivantes ? Non, elle ne compte pas de mettre un terme définitif à sa vie en se jetant du haut de ce pont ! Bien qu’elle soit aventureuse et pour le moins assez courageuse, jamais elle n’aurait le courage de mettre un terme à sa vie, elle l’aime bien trop pour cela. Voyant que la jeune femme ne réagit pas, l’homme réitère sa requête. Regardant le ciel de manière délibérer elle finit par se remettre debout en regardant son interlocuteur un sourire narquois aux commissures de ses lèvres vermeilles. « Vous avez raison ! Je préfère attendre une belle soirée de pleine lune pour cela ! Tournant les talons elle finit par quitter les lieux afin de rentrer chez-elle, ainsi c’était clos sa soirée. Un mois plus tard, sa vie n’a pas pris de grands tournants. Elle est toujours la jeune étoile montante de l’agence financière qui l’emploi, prête à tout sacrifier pour arriver à ses fins et rêveuse à plein temps. Depuis ce fameux jour où elle a vu son frère dans ce parc Eden ne cesse d’y retourner espérant secrètement le revoir et surtout avoir le courage de s’approcher de lui. Seulement elle avait pu le recroiser deux ou trois fois et la seule chose qu’elle a su faire a été des photos… A croire que son courage s’estompe fortement lorsqu’il s’agit de faire le premier pas… Aujourd’hui elle n’attend pas grand-chose de la vie si ce n’est qu’elle la surprenne… Eden espère toujours qu’un jour elle pourra faire quelque chose de ses écrits, pourquoi pas les publier, si seulement elle était un peu moins pessimiste… Rêveuse utopique, c’est ainsi qu’elle restera…
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 22:44 | |
| Je pense avoir terminé ma fiche , si il manque quelque chose ou que quelque chose n'est pas cohérent avec le personnage n'hésitez pas ! Par contre j'ai pris la liberté de lui inventer un frère j'espère que cela ne posera pas de problème µ.µ |
| | | Noah L. Woodville Admin
Messages : 1088 Âge : 36
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 22:47 | |
| Je suis carrément admirative devant ta ficheeeee Y a pas de soucis pour le frangin Et donc, tu es notre première validéeeeeeee ! Bienvenue parmi nous <3 |
| | | C. Lucifer Heysenhower
C r a z y . A d m i n ✖ Tu m'touches ; J'te bouffes
Messages : 1314 Âge : 32
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 23:06 | |
| Waa merci pour votre accueil et vos compliments La deuxième wahouu c'est pour ca qu'il neige aujourd'hui #SBAFF#Bon allez je file faire mes sénarios telle une membre consciencieuse (aa). Pour les vavas des sénarios il faut les réserver ou ce n'est pas important ? |
| | | Noah L. Woodville Admin
Messages : 1088 Âge : 36
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 23:09 | |
| On remplira la liste des avatars réservés au fur et à mesure, mais au pire réserve les avant l'ouverture |
| | | C. Lucifer Heysenhower
C r a z y . A d m i n ✖ Tu m'touches ; J'te bouffes
Messages : 1314 Âge : 32
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 23:10 | |
| Oui c'est pour ca qu'il neige !! ( C'est tellement bien qu'il est neigé !! J'ai passé une bonne journée du coup !! =p --' Bref, je me tais )
Pour les scénarios tu peux mettre les avatars que tu souhaites et on les ajoutera dans la liste des avatars avec le lien vers ton scénario ! ( si c'était pas ca ta question désolé je suis un peu à l'ouest =p ) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 23:18 | |
| Merci beaucoup pour vos réponses si rapide Je file les faire tout de suite alors (aa) |
| | | C. Lucifer Heysenhower
C r a z y . A d m i n ✖ Tu m'touches ; J'te bouffes
Messages : 1314 Âge : 32
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Jeu 17 Déc - 23:21 | |
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| | | Quinn R. Prescott ATOMIC SKY ♦ hidden behind my mischievous wink.
Messages : 573 Âge : 30
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden Ven 18 Déc - 0:19 | |
| Merciiii |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Je te défis de me défier ► Eden | |
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| | | | Je te défis de me défier ► Eden | |
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