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 |  Sujet: "m'aimer est un pêcher mais tu peux m'adorer..." finished Mer 27 Jan - 21:50 | |
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lili's
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Nom: GOLDWIN
Prénom: Roxane Leliah
Âge: 21 ans
Origine: Anglaise
Métier/Étude: Étudiante en stylisme
Groupe: I'm better than You
avatar: Emma WATSON
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Je ne suis pas jaloux, Je suis moi..
Douce - Douée - Souriante - Timide -Lunatique - Gourmande
En un mot ? Une sacré grande gueule. Oui, je sais, ça ne fait pas un mot mais quatre, vous m'avez compris quoi. Roxy est une future déléguée syndicale. Plus râleuse & contestataire ? Tu décèdes. Il faut toujours qu'elle rajoute son grain de sel, qu'elle fasse entendre sa voix pour un oui ou pour un non. Hormis ce fort esprit de contradiction, c'est, en général, une jeune femme plutôt agréable, toujours prête à aider les gens dans le besoin mais surtout à s'amuser. Toujours prête à relever des défis, à se remettre en question & à évoluer. Le changement ne l'effraie pas, au contraire, il la stimule. Le train-train quotidien ? Impossible, avec elle tout est toujours en mouvement. Alors, certes, elle possède beaucoup d'humour mais un humour plutôt particulier, assez cynique & pleins de sarcasmes -quitte à choquer. Roxane colle parfaitement à son époque :chaque jeune est désenchanté - comme disait si bien Mylène F.- & où la désinvolture est un véritable art de vivre. Néanmoins, il lui arrive souvent de se mettre en colère pour un rien et de lancer des remarques désagréable, pleines de sous entendus. En grandissant, la petite s'est découvert des qualités dont elle use sans se prendre la tête ; à quoi bon renier une beauté naturelle ? Une intelligence pratique ? Un sens de la répartie hors pair ? Néanmoins, la brunette est maladroite, gourmande (parlez-en à sa balance), timide quand il ne faut pas mais bien pire : elle a tendance de se fourrer dans des situation impossible Mais, heureusement pour elle, elle est bien entourée et ses amis ont, jusque là, toujours réussit à rattraper ses gaffes et à l'empêcher de foutre sa vie en l'air. En bref, Rox rocks
|  Break Me Out |
Ma vie est succession de péripéties.
Break Me Out | Je suis née comme de part hasard un jour de grand froid. La neige, aussi fine est fragile que l'avait été la capote de mon père n'arrangea pas les choses, bien au contraire puisque la voiture peinait à rouler aussi vite que l'aurait voulut ma génitrice histoire d'abréger ses souffrances. Enfin, quand elle parvint à garer le véhicule sur le parking bondé de la petite clinique modeste Londonienne et à atteindre le grand hall tout de blanc, une infirmière charitable l'aida à s'installer.
Dès les première minute, tout le corps médical sût que la naissance ne serait pas de tout repos et, malheureusement pour eux, les hurlements strident de Madame ne les démentirent pas. Puis, après une bataille sanglante et sans répits pour la pauvre mère, Roxane daigna enfin pointer le bout de son nez. Encore barbouillés par le sang, elle laissa échapper un petit vagissement aigus qui rassura les médecins ; elle allait bien ! Sa génitrice, malgré la fatigue, insista de suite pour récupérer son enfant et ne le lâcha plus que quelques heures plus tard quand le sommeil eût raison d'elle. Les premiers jours à la clinique se déroulèrent sans la moindre ombre à l'horizon : tout était parfait. Aucun employé n'osait demander à la pauvre femme se qu'était devenu le père même si ils savaient qu'elle répondrait volontiers. Ce dernier en fait se trouvait juste à quelques pâtés d'ici, sous la surveillance constante d'une épouse trahie même si ses pensées les plus intimes (celles sur lesquelles Madame n'avait aucun ascendant ) allaient à sa fille : ce petit bout de femme à qui il avait arraché une vie tranquille.
Après une semaine enfermée dans la chambre et sans cesse interrompue par ses médecins soucieux, la mère fut ravie de retrouver son petit coin de paradis Londonien qui plut au bébé. Pour la seule semaine autorisée, elle s'était arrangé pour que son maris s'en aille, sans son fils. La petite Rox', comme la surnommait affectueusement sa maman, grandissait à vue d'œil et ressemblait de plus en plus à son géniteur inconnu. Tout en elle, sans oublier les yeux, lui rappelait les instants merveilleux de sa conception ; 9 mois auparavant. Trois semaines après leur retour discret, le beau brun dont la jeune blonde était tombé amoureuse réapparut à la porte en réclamant la petite : il voulait la voir, peut-être la toucher mais surtout la reprendre. Pleine de rancœur, sa maitresse lui claqua la porte au nez mais ce dernier ne s'avoua pas vaincu puisqu'il la défonça le battant sans plus de cérémonies avec la promesse de la lui rembourser. Encore un peu sonnée par la violence de son aimé, la mère n'opposa plus de résistance et le laissa s'approcher. Je ne dormais pas et, les yeux grands ouverts sur le plafond couleur pêche, attendais qu'une paire de bras charitable m'extrait du landau. Cette dernière, poilue et loin d'être aussi douces que celles auxquelles j'avais l'habitude me firent hurler, rien qu'un instant. Néanmoins, mon père ne me lâcha pas une seconde au risque de rompre le lien qui nous rattachait à présent. Sa bien aimée, rassurée, nous regardait tranquillement histoire de vérifier qu'il continuait à bien se comporter jusqu'à ce qu'elle s'endorme : lasse d'une scène aussi longue.
En effet, jusqu'à la tombée de la nuit quand je réclamais à grands cris mon "bibi", nous étions resté silencieux à rattraper le temps perdu : ces minutes si précieuses. Alors, il se leva d'un bond et s'enfuit, comme un voleur, chargé d'un paquet humain.
Mon enfance se déroula, au contraire de ma naissance, dans le calme le plus complet d'une manière si banale qu'elle n'est enviable pour personne. Ignorante, je parcourait ce chemin tout tracé par l'argent et l'amour de mes deux parents séparés. Parfois, il m'arrivait de poser la question fatidique mais elle restait souvent sans réponse ; je n'avais pas encore l'âge. Alors que mes amies retournaient toutes chez elle entourée de deux parents amoureux, je devais me débrouiller pour reconnaitre la baby-sitter du jour qui me coucherait le soir avant que ma père ne rentre, exténué. Pourtant, je ne me plaignait jamais et laissait aux autres le privilège de critiquer : je n'osais pas. Enfin, je rentrais au collège et commençais à fréquenter les garçons qui m'adoraient : j'étais belle, j'étais douée. Avec eux, tout était plus simple car je les embrassais et alors, ils me laissaient tranquille. Avec des filles, je grugeais en boîte et sortais au point de ne pouvoir me présenter en cours le lendemain : mes parents ne s'en rendaient même pas compte. La drogue, le sexe, l'alcool devenu mon quotidien me permettait d'oublier cette vie de merde, celle de l'extérieur que je n'assumais pas.
Pourtant, je jour de "l'accident", je me sentais relativement bien : mes notes étaient plutôt correctes, pour une fois et je n'avais pas pris de stup' depuis 24 heures. Encore un peu sonnée par l'heure matinale, je marmonnais un "au revoir" à mon père qui passa rapidement la tête dans le battant. Quelques heures plus tard, la principale me convoquait dans son bureau et me passait, lâche, son téléphone noir et brillant. Un homme d'une trentaine d'année à la voix grave m'exposa la situation lentement, histoire que je ne loupe rien des détails les plus sordides. Surprise, dégoutée et traversée par le doute, je lâchais le combiné et m'enfuyais du bureau étouffant. Dehors, la lumière éclatante me redonna espoir : mon père était invincible et même un camion de 8 tonnes s'en serait pas venu à bout ! A l'hôpital, je patientais, prise entre le besoin de la voir et la peur de la vérité jusqu'à ce qu'un interne, tremblant, m'annonce la triste nouvelle. Sceptique, j'insistais jusqu'au larmes pour vérifier ses dires mais il secoua la tête, négatif. Détruite, je m'évanouissais dans ses bras...
Les jours suivants, je regardais les gens s'agiter dans un brouillard constant, protecteur. Depuis le début, je n'avais pas lâché une larme et n'en sentais pas le besoin : rien de tout cela n'était encore bien réel et j'espérais un peu me réveiller en sueur, certes, mais auprès du corps chaud que je venais de perdre. Seulement, à l'enterrement, quand je patientais toute de noir vêtue aux côtés de ma mère, sérieuse et impassible à laquellel j'aurais décroché une bonne baffe, je sentis d'un coup le vide qu'allait occasionner la disparition de papa, je m'effondrais. Sans retenue, je laissais couler toute la retenue de la semaine précédente. Et, quand je m'arrêtais enfin, un sentiment de soulagement m'envahit et me rassura : quoi qu'il arrive, je n'étais pas insensible. S'ensuivit alors toute l'organisation de mon adoption par ma mère, qui insista : sa famille et elle-même m'accueillerait comme il se devait ; je ne refusais pas.
Pourtant, je retenais un hoquet de terreur quand je remarquais toute sa tribu regroupée devant le bel appartement : depuis quand avais-je un frère ? Brun et aussi beau que moi, il ressemblait autant à son père que l'avait fait remarquer ma mère... en parlant de moi !
Les premiers jours furent comparables aux combats que j'avais mené pour oublier la tristesse accablante après l'enterrement mais je continuais à sourire, comme pour donner le change. Ici, je me savais étrangère et détestée malgré mes efforts sans leur en vouloir vraiment : n'étais-je pas le fruit de l'adultère ? De la bêtise ? De leur pire crainte ?
C'est bien cela que me fit comprendre sans répit le pauvre blond à qui personne ne faisait attention et qui se faisait passer, en public, pour le meilleur beau-père qui fut. Sans qu'il m'adresse la moindre parole, je comprenais aussi le même message chez l'adolescent brun et absent. Ma mère, en revanche, tenta un rapprochement inutile : rien ne ma ferait oublier le vide qu'avait causé mon père en disparaissant si brusquement. Heureusement pour moi, je finissais par me rapprocher de l'homme, le véritable, de ma mère jusqu'à ce qu'il arrête de me torturer puis (enfin !) de Quinn dont je serais tombée amoureuse si il n'avait pas été aussi clair concernant notre situation ; nous étions frères et rien d'autre.
Lentement mais surement nous avons appris à nous connaitre pour mieux se comprendre et s'accepter, même si cela n'a pas été toujours très facile. Alors qu'auparavant, je me sentais coupable d'être née, d'avoir causé de la tristesse, j'ai découverts à son contact sa manière de voir les choses : peut-être plus optimiste ? Plus censée ? Je ne sais pas...
Enfin, j'ai continué mon petit bonhomme de chemin alors que je pensais m'arrêter : quelle imbécile ! De manière générale, je crois avoir tiré un trait sur mon ancienne vie, celle "avant". Quelques fois, il m'arrive de laisser couler quelques larmes ou de penser à ce qui serait arriver si je l'avais retenue, ne serait-ce que quelques minutes, ce matin : à ma vie. Mais, je ne regrette rien, plus maintenant : il est temps de grandir, d'évoluer, de voir les choses sous un angle plus favorable et, qui sait ?; plus propice... |
Je n'ai rien à envier... Quand on avoue sa jalousie, on l'a déjà dépassée. Les vraies jalousies, on n'en parle pas. Mais pourquoi il se laisse tourner autour comme ça ?! Il était censé être avec vous ! Vous restez dans votre coin à ruminer, ou vous lui en faites voir de toutes les couleurs ?A ce que je vois, je ne te conviens plus ! Toutes ces gamines sans cervelles aux nichons plus gros que naturel souhaite semblent te convenir parfaitement : tant mieux ! Moi je me barre et si tu ne me rattrape pas dans les... disons... 5 secondes qui suivent et bien tant pis ! Je ne suis pas ton chien et je préfère mourir qu'attendre que tu te lasse de ses connasse pour m'accorder un minimum d'attention ; SOUMISE ? Jaaaamais !! Mais, je me connais et en grande naïve, tu m'auras tout à toi si tu me fais la cours ; correctement, bien entendu. Quelle bêtasse ! Cet héritage, il devait te revenir à toi ! Mais il a préféré lui donner, à lui... Alors ? Qu'est ce que ca fait ? L'argent n'a d'importance que si l'on en fait bon usage et ce n'est pas mon cas ; Tu peux te les garder !! Avec, j'aurais tout dépensé en fringues jusqu'à me demander quand je pourrais les mettre (elle deviendront, au pire, trop petite ou démodée et je les jèterais, sans remords). Je suis une de ses compulsive que notre société adore et il m'arrive, j'avoue, de craquer pour un rien. Toi, sage et expressivement généreux, tu utiliseras de tout pour faire plaisir, jamais pour te donner satisfaction. Grand père devait s'en douter et je penses qu'il a bien fait de tout te donner mais... tu partages quand même ? Il a eut une promotion ? Vous êtes plutôt du genre "il a du coucher pour l'avoir" ou " c'est vrai qu'elle a du potentielle... Mais qu'elle g*rce " ? Avant toute chose, je ne suis pas du genre à regarder les gens en me disant que je voudrais être, à tout prix, à leur place. Moi, je bouge, je suis active, je ne me laisse pas porter par le courant. Donc, quand quelqu'un est récompense pour quelques chose : c'est moi ! Alors, je souris et admire vos mines déconfites ; emplies de regrets que je n'aurais jamais ! Car, oui, il peut m'arriver d'échouer et dans ce cas échéant, d'assister à ma défaite et donc à la promotion d'une rivale. Dans ce cas là, je retiens mes leurs et mes cris, ravale mes instincts garce et me mets au travail ; comme une grande. Quand on enlève le masque... Ton personnage serait-il prêt a.... Pour cette partie, vous pouvez répondre simplement par oui ou par non, ou développer plus, à votre aise ! Profitez en, ce ne sera pas tous les jours ° Séduire un(e) homme/femme riche uniquement pour son argent ? Sans soucis. ° Sortir avec le/la petit(e) ami(e) de son/sa meilleur(e) ami(e) ? Tout dépend sa gueule. ° Mettre ses meilleurs amis dans le pétrin uniquement pour réussir ? NON ! ° Coucher pour avoir une promotion ? NON ! Je bosse : rien d'autre. ° Détruire la réputation de quelqu'un par vengeance ? Cela peut arriver mais alors une vengeance méritée. ° Faire du chantage, même à ses amis ? Du chantage mais pas à ses amis. ° Travailler d'arrache pied pour être le meilleur ? Toujours ! ° Détruire les travaux de ses collègues pour avoir du mérite ? Non ! ° Pire, voler les travaux de ses collègues pour recueillir les mérites ? NON ! ° Tuer quelqu'un pour de l'argent, pour une promotion ou pour une réussite scolaire ? Sans commentaires. ° En venir au poing avec son pire rival ? Très souvent. ° Révéler des secrets sordides sur des amis pour les couler ou pour faire casser leurs couples ? Jamais pour une amie mais sans regrets pour un rival. ° Engager un détective privé pour suivre ses rivaux potentiels ? Je sais me débrouiller seule. ° Ridiculiser ses collègues pour se sentir supérieur ? Pas besoin de ça... Mais dit moi ... Qui es tu ? Pseudo ou Prénom : Lou'' Âge : 15 ans Comment as-tu connu le forum : Partenariat Que penses tu du forum : J'aime : les PV, les membres et le design. Tout quoi 
Dernière édition par Roxane L. Goldwin le Mar 2 Fév - 21:37, édité 13 fois |
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