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 |  Sujet: Quelle surprise ! PV. Noah Mar 19 Jan - 20:19 | |
|  Noah W. && Muse W Un rayon de soleil traversait la grande baie vitrée du salon de mon loft. L’hiver avait été rude et le soleil avait totalement pris la fuite sur la grande ville de Londres. J’avais passé ma matinée à la mairie afin de montrer au maire que je venais régulièrement. C’était difficile de ne pas être bien vu dans la ville où on est candidat à la mairie de la capitale d’Angleterre, et encore moins lorsque le maire de la capitale ne soutien pas notre candidature… Malgré ma réputation de femme froide, fatale et mangeuse d’hommes, j’avais réussis à ranger quelques femmes à mes côtés grâce à cette émission de radio où j’avais été prise au dépourvue par le présentateur. Heureusement pour moi, j’avais su détourner la situation à mon avantage et j’avais à présent le soutient des associations de femmes battues, les femmes battues et même des gens ayant subit la violence d’un pair ivrogne lorsqu’ils étaient petits.
Même si devant le public, mon passé avait l’air de ne plus rien me faire, s’était faux et une seule personne le savait : Aaron Lewis. Notre relation était au beau fixe et j’étais heureuse d’avoir su donner ma confiance et mon amour à un homme malgré tout. Je profitai du soleil et décidais d’aller faire un tour dehors. J’enfilais ma veste en cuir noir, détacha mes longs cheveux blonds tombants sur mes épaules et enfila des bottes noires à talons. Le vent était frais malgré le soleil qui m’éblouit une fois que je mis un pied dehors. Je trouvais sans difficulté un café et ressortie avec un cappuccino en main. Alors que je tournais au coin d’une rue, je m’entrechoquais violemment contre quelque chose…ou quelqu’un ?! Je sentis mon cappuccino chaud se renverser sur ma veste et tomba les fesses à terre. Lorsque je levais la tête pour voir qui j’avais cogné, je fis la grimace.
Noah Woodville se trouvait devant moi. Au début, il avait l’air désolé de m’avoir bousculé jusqu’à ce qu’il se rende compte que s’était moi. Je connaissais plutôt bien cet homme, s’était mon principal adversaire dans la course pour devenir maire. S’était lui que le maire soutenait. Je détestais cet homme plus que tout au monde. Son arrogance à mon égard me donner la nausée. Notre relation était cependant assez spéciale car, au fond, j’adorais me chamailler avec lui et j’adorais le détester…Étrange non ?
Difficilement, je me relevais et sortie un mouchoir de ma poche, le passant sur l’énorme tâche de ma veste tout en marmonnant ;
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