Nom: Owens, un nom anglais, un nom court et concis, un nom qui, il l'espère, sera un jour connu et reconnu de tous. Son père a déjà entreprit de le rendre important, mais il espère bien faire littéralement oublier qui son paternel était pour être le seul Owens dans la course, le seul homme enviable de la famille, le seul homme à abatttre. Le seul qui brille.
Prénom: Mâat Oliver ... Vous ne pouvez pas imaginer à quel point Mâat est ravi de ne pas porter un nom à rallonge ! Il en porte deux ,et c'est amplement suffisent ! La simple idée d'enchaîner les noms l'horripile !! Il aime l'idée de ne pas avoir à se présenter en énoncant pendant deux minutes seulement ses noms. Ca peut faire classe ... Dans les films comiques !
Âge: 26 ans, et toutes ses dents !! Il les fait, en apparence au moins. Sinon, je pense que l'on peut aisément dire que c'est un vrai gamin: joueur, et sans attache. La vie de famille ne l'interesse pas, il sait qu'il va devoir grandir, mais il n'y tient pas, pas encore ...
Origine: Anglais de par son père, français de par sa mère. Un bon élange, non ? Il a hérité du flegme et de la prestance anglaise, et de la beauté et du charme français. C'est mignon, non ? Il est très fier de ses origines, et d'ailleurs, il parle courament français ,et part très souvent en France où il a un appartement, sur Paris.
Métier/Étude: Professeur de piano à ses heures, et étudiant en droit en général. Le premier est sa passion, le second est un moyen de surpasser son père ! En gros, il allie son ambition, et sa passion. Comment espérer faire mieux ? Lui n'arrive pas complètement à croire qu'il parvient à faire ce qu'il désire !!
Groupe:I'm better than you
avatar: Jensen Ackles

Têtu Drôle Farceur Prétentieux Créatif Lunatique Bavard Froid Cynique Sarcastique Gentil Dragueur Bagarreur

I - Des parents pas comme les autres.
Johanna Malberry Dawson est tout sauf une personne que l'on peut qualifier comme étant normale. Mâat aurait adoré pouvoir l'affirmer, mais c'était littéralement impossible. Cette jeune américaine n'était rien d'autre que l'une des stars montantes du cinéma hollywoodien lorsqu'elle a rencontré celui qui deviendrait plus tard son conjoint, Oliver Sanders Owens. Que de noms à rallonge, n'est-il pas ? La première était d'une rare beauté, le second d'une rare froideur. Ca tombait plutôt bien. La jeune star ne demandait pas à son mari d'être présent et aimant, elle lui demandait seulement d'être riche et de ne pas lui faire honte. Le dirigeant de la firme internationale ne demandait pas à sa femme d'être intelligente, il lui demandait seulement d'être belle pour faire sensation aux soirées, et aux galas. Un monde fait d'apparences. Un monde que Mâat n'a jamais supporté. Quoi qu'il en soit, ses deux parents étaient connus et reconnus, riches et puissants, influents et ambitieux. Ils n'étaient pas faits pour s'entendre, mais ensemble ils étaient invincibles. C'est idiot de parler ainsi, et Mâat en a conscience, mais c'est ainsi qu'il a toujours vu les choses. Son père a la poigne de fer que sa femme n'a pas, sa mère a toute la douceur, toute la beauté et tout le charmeur que son mari n'a pas. Ils se complètent. Personne ne pourrait jamais douter de ce couple saisissant. Leur rencontre s'est opérée dans des circonstances banales, un gala. Tout de suite, ils ont eu le coup de foudre. Coup de foudre amoureux, ou coup de foudre pour les affaires, personne ne le sait, mais les faits sont là. Ils se sont rapidement mariés, et ensemble ont agrandi et uni leurs empires. Mâat a toujours eu énormément d'admiration pour ses parents, mais il faut avouer qu'il les trouve à la fois distants et étouffants, et entre eux, à la fois froids et amoureux. Il n'a jamais rien compris à leurs relations. Quoi qu'il en soit, lorsque Johanna est tombée enceinte, ils ont décidé de quitter la Californie et de venir vivre en Angleterre, le pays natal d'Oliver. Là, ils ont acheté un appartement digne de ce nom, et ont continué leurs petites affaires. Evidement, Johanna a quitté le grand écran, et Oliver n'a jamais cessé ses voyages. La première s'est exclusivement consacrée à son fils, le second s'est uniquement consacré à ses entreprises et à son portefeuille. Mâat ne s'en plaint pas. Son père, il le connaît que très peu, et déjà enfant, il voyait bien qu'il n'avait rien d'un sain. Et ce même s'il était certain qu'il aimait sa famille.

II- La rencontre
Notre Mâat chéri et adoré naquit un 23 avril. Et pour la première et dernière fois de sa vie, il fut en avance. En réalité, c’était même un prématuré de deux mois, ce qui explique les premières semaines de sa vie dans une couveuse. Cette précocité de la naissance ne l’a jamais empêché d’être un enfant fort et intelligent, bien au contraire. Il se plaît même à dire que tout ce temps seul dans une bulle de verre a fait de lui un être plus dur, plus froid, et plus fort. Oh, c’est relativement idiot de penser cela alors qu’au fond il est d’un naturel relativement joyeux, mais c’est vrai qu’il ne craint pas la solitude, au contraire. L’essentiel est d’énoncer que ce n’est pas parce qu’il était prématuré que son père est plus resté à proximité. Ila emmené sa femme à l’hôpital, puis est reparti, laissant les deux êtres qui devraient le plus compter pour lui seuls le temps de visiter un pays pour toujours gagner plus. Son fils s’est développé dans sa bulle, sa femme est lentement partie. Elle n’est pas morte en couche, mais elle a changé dès le moment où elle a mis son fils au monde. Les médecins ont parlé de baby blues. L’essentiel est que l’état de la jeune femme n’a fait qu’empirer. La petite famille est rentrée chez elle un mois après la naissance de Mâat. Il lui fallait des contrôles fréquents, mais sa santé allait en s’améliorant, et personne n’aurait pût se douter du fait qu’il ait été un prématuré. Il était un enfant superbe, éveillé et potelé. Le genre que l’on ne pense pouvoir voir qu’à la télévision. Et l’état de sa mère s’est lentement amélioré. Elle allait mieux, surtout parce que son mari était à proximité. Très vite, Mâat a révélé une grande intelligence et un fort caractère. Il était capricieux et possessif, mais il était réellement adorable. Naturellement gentil, il ne marchait pas que déjà il se hissait sur le canapé pour faire sourire sa mère, lorsqu’il la sentait mal. C’était une situation étrange : dès que son père disparaissait, il était seul. Complètement seul. L’argent ne fait pas le bonheur, et à même pas un an, il s’en était rendu compte. Il avait tout ce qu’il voulait, mais ce n’était pas pour autant qu’il était heureux. Il ne pouvait être heureux que lorsqu’il était en famille, parce que sa mère n’était heureuse que lorsqu’ils étaient en famille. Sinon, elle n’était même plus présente, elle n’était plus qu’une enveloppe, une coquille vide qui laissait son fils à sa nourrice. Bref, les premières années de la vie de Mâat étaient dures. Plus qu’il ne voudrait l’admettre.

III- La transformation
Tout jeune donc, Mâat a dû apprendre à se débrouiller seul. La nourrice était gentille, mais occupée, son père toujours absent, et sa mère dans son petit monde à elle. Aussi, il était assez rêveur, et surtout d'une incroyable gentillesse, comme si la mission qu'il s'était donné était de rendre la vie de son entourage merveillesue. Il faisait rire les autres, les aidait... Il était ce que l'on appelle un amour de petit garçn, même s'il était un peu turbulent. Mais un jour tout changea. Il avait 7 ans lorsque son père rentra à la maison, annonçant à son épouse dépressive qu'il partait pour toujours. Ses parents avaient hurlé, sa mère avait pleuré, la nourrice lui avait bouché les oreilles. Mais il avait tout vu. Et s'était dégagé des bras récoufortants de celle qui s'occupait de lui depuis le début de sa vie. Il apprit ainsi que son père en avait assez de sa femme, et qu'il partait. Il avait trouvé une femme, plus jeune. Quant à savoir s'il l'aimait, c'était une autre histoire, mais l'essentiel était qu'elle n'était pas l'ombre d'elle-même, qu'elle éait entière et forte, pas comme sa femme. Après des adieux déchirants, Oliver est donc parti. Oh, il n'a pas abandonné son fils pour autant ! Il l'aimait, c'était certain, il l'avait srerré contre lui, au bord des larmes, lui disant qu'il s'occuperait de lui. C'était normal, mais Mâat était dans un état trop lointain pour le comprendre. Il se sentait abandonné, et se demandait pourquoi lui qui faisait tout pour que la vie des autres soit belle en voyait ainsi de toutes les couleurs ? Il commença à changer d'optique. Il ne mangea oplus pendant 3 jours, préférant hurler et pleurer, répétant inlassablement que son père était un lâcheur. Lentement, il se durcit, il devint un autre petit garçon qui souriait moins, et râlait plus. Rien ne s'arrangea lorsqu'une nuit, il fut réveillé par les sièrenes du SAMU.

IV- La fin de son Univers
Sa nourrice est entrée dans sa chambre alors qu'il était effrayé. Il avait à peine 8 ans. Elle pleurait. Elle l'aida à faire son sac tandis qu'inlassablement il essayait de comprendre ce qu'il se passait. Il n'était pas idiot. Il savait que quelque chose de grave se passait, mais le fait que sa nourrice ne réponde pas ne faisait que l'énerver encore plus. Elle ne lui avait jamais menti ! Pourquoi Diable commençait-elle ? Elle ne l'aimait plus ? Bien évidement, en garçon curieux qu'il était, il entra dans la pièce qui lui semblait la plus agitée: la chambre de sa mère. C'était tellement rare qu'il y ait des gen dedans ! Elle n'acceptait jamais personne ! Ou en tous cas, elle n'acceptait personne d'autre que lui, ou bien son père. Même la femme de ménage ne rentrait pas dedans. Et là, le drame. Entouré de trois hommes, de trois mèdecins, le corps inanimé de sa mère. Ce qu'il s'est passé ensuite est un mystère pour Mâat. Il a sauté sur le lit, hurlant, pleuant, secouant sa mère qui ne bougeait plus ,et qui était glacée. Certes, Johanna était peu présente, mais il l'aimait. Il l'aimait plus que tout. Deux jours plus tard, son père venait le chercher et l'emmenait chez lui. Ce dit chez lui n'était rien d'autre qu'une chambre d'hôtel, dans laquelle il fut accueilli par une femme, une blonde d'une vingtaine d'années, aux jambes interminables et au sourire tellement mielleux qu'il en était effrayant. Elle s'appellait Marina, et c'était elle qui avait fait tourner la tête d'Oliver. En fait, la chambre d'hôtel n'était pas chez lui, mais seulement l'endroit où il s'était arrêté le temps de récupérer son fils. Il s'était séparé de son épouse pour pouvoir poursuivre ses tours du monde interminablesx avec sa jeune maîtresse, et la présence de son fils ne l'empêcherait pas de continuer. En l'espace de 4 jours, tout fut prêt pour le départ: fils à côté, héritage maternel sur son compte, nourrice virée et avion décollé. Mâat n'avait plsu rien. Plus de répères. Tout ce qu'il savait c'est qu'une nouvelle vie commençait. Une nouvelle vie dont il ne voulait pas. Il devait apprendre à connaître son père, sa maîtresse qu'il haïssait déjà. Il devait oublier sa mère, et celle qui s'était occupé de lui. Il devait quitter Londres, il devait être quelqu'un d'autre.

V- Nouvelle Vie, Nouveau Mâat
La suite des événements est prévisible: doucement il s'est rapproché de son père, doucement il s'est éloigné de celle qui remplaçait sa mère. Il a grandit, il a changé. Il a gagné le charme, la prestance qui caractérisait son père. Doucement il est dévenu un homme. C'est lorsqu'il eut 11 ans que son père revint s'installer à Londres. Finit pour lui les cours à domiciles, et dans les jets: il est allé au collège, première fois où il rencontrait des jeunes de son âge, et il a vite pût se rendre compte de sa "supériorité". Il était plus vif, plus malin, plus froid, plus caractériel, plusdrôle, plus fauteur de trouble, plus ... Il était toujours plus que les autres sans pour autant se rendre compte du pourquoi du comment. C'est dans ce cadre qu'il a véritablement développé sa personnalité. Il est vite apparu comme un chef de bande. Adoré par certains, haït par d'autres, il ne laissait personne indifférent. C'était son but. Les ocnflits avec son père aussi devinrent plus importants. Il ne le supportait plus, lui et ses airs supérieurs, ses absences où il le laissait avec cette Marina que le temps n'arrangeait pas. C'est là que Mâat devint vraiment celui que nous connaissons aujourd'hui. Il s'est vite affiché comme un véritable laron, il a fait rire, il a fait pleurer, il s'est battu. Les sports sont aussi devenus sa passion. Après l'escrime, il a véritablement découvert tout ce qu'il pouvait et s'avérait être bon en tout. Sans doute était-ce la joie de vivre autre chose que tout ce que son père l'avait forcé à voir ? Bien évidement, cmme tous les gamins, et tous les ados, Mâat enchaina les bêtises, d'autant qu'il n'avait pas d'adulte à côté pour le soutenir. Il faisait ce qu'il voulait, enchaînant les filles (ce qu'il fait encore), se battant (ce qu'il fait encore aussi), allant multiplier les fêtes, s'amusant en somme. Le soucis est qu'il n'a jamais arrêté de s'amuser, mais enfin...Il se sentait libre. Trop libre peut-être. C'est la raison pour laquelle, son père décida, alors qu'il avait à peine 19 ans, d'en faire son assistant. Il lui apprit tout ce qu'il savait, alors même que Mâat ne rêvait que d'une chose : être un artiste. Sa spécialité de base était le piano, mais il se passionnait vraiment pour la guitare, pour les arts manuels, et dramatiques. Sans doute le tenait-il de sa mère, mais il était vraiment fait pour être un artiste, ce n'était pas ainsi que son père l'entendait. D'ailleurs, aujourd'hui encore, Oliver ne croit toujours pas au reêve de son fils, et compte bien le voir un jour prendre la tête de la société.

VI- " Je serai toi... en mieux"
Ce furent les mots que Mâat prononça avant de quitter l'entreprise de son père. Il avait 22 ans, et il avait décidé de vivre sa vie. Une bonne fois pour toutes. Oh, bien sûr il ne partit pas complètement, il n'était pas assez fort pour ça. Il aurait pût, mais il tenait à garder un de ses parents. Il en voulait à son père, et une relation de conflit était instalée entre eux, mais il était hors de question de mettre en péril sa relation avec le dernier membre de sa famille. Il devint professeur de piano, et parallèlement, il s'inscrivit dans une grande école de droi. Le but ? Etre brillant et se faire connaître. La réalité ? Battre son père ! C'est ce qu'il veut, même si aujourd'hui leurs rapports sont plus que bons. Enfin, plsus que bons, il ne faut pas non plus pousser, mais on se comprend. Mâat rest un grand garçon maintenant, il sera bientôt avocat, il peut faire ce qu'il lui chante sans jamais être bloqué. Et vous voulez connaître sa spécialité ? Faire de grands sourires, avant de dire tout haut ce qu'il pense... Il est libre, c'est tout ce qu'il veut ! Quoi qu'une certaine personne ait battre son coeur. Il veut la conquérir. Y parviendra-t-il ?