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| Sujet: Confidences...pv.Aaron Mer 30 Déc - 13:47 | |
| & Confidences... Il me fit la grimace et me dit qu’il n’avait pas eu le temps, que ça soit pour écouter la radio ou même pour regarder la télé. Je pouvais comprendre, s’était juste que ça m’aurais arrangée, même si on aurait quand même du en parler un jour ou un autre… Nous étions justes devant l’immeuble où se tenait mon loft. Aaron m’attira vers lui, et passant sa main dans mes cheveux, il me dit ; « On vas chez toi ! Je te prépare mon chocolat, et tu me racontes ce que tu as dit à la radio ? D'accord ? » Il me sourit, un sourire sincère et passa sa main dans mes cheveux. Je fis signe « oui » de la tête et commença à chercher mes clefs dans mon sac à main. Après mainte et mainte recherche, je trouvai enfin mes clefs. Nous montâmes jusqu’au deuxième étage et nous arrêtâmes devant le loft n°160 : s’était chez moi.
Lorsque nous entrâmes dans mon grand loft, je me dirigeai tout de suite vers le poil et alluma une buche. Il faisait assez frisquet et j’aimais voir le feu qui consumait petit à petit la buche de bois. Je me réchauffai les mains et murmura à Aaron qui était resté debout, sans rien faire ;
Muse – La cuisine est là-bas, la chantilly est dans le frigo et le chocolat en poudre dans le deuxième placard sur ta gauche.
Je lui souris et enleva mon manteau. J’étais habillée d’un jean et d’un tee-shirt bleu turquoise. Même l’hiver, j’aimais me sentir à l’aise dans se que je portais chez moi et même si il faisait froid dehors, j’aimais trainer en tee shirt. Mon salon était ouvert sur ma cuisine. S’était un loft très clair avec une décoration assez classe mais moderne. Il n’y avait aucune photo de moi petite ni de mes parents. Quelques œuvres d’arts, c’est tout. Une grande baie vitrée était entre ma cuisine et mon salon, donnant sur une grande terrasse qui était visible par la fenêtre de la cuisine au dessus du lavabo. Cette terrasse avait une vue imprenable sur les rues piétonnes de Londres, couverte par la neige et par ses passants pressés. J’allais rapidement dans ma salle de bain qui se située à l’étage, juste après un petit escalier tournant à gauche de la cuisine. Le couloir qui menait aux chambres et à celle-ci était découvert : on voyait tout ce qu’il se passait en bas. Il n’y avait pas beaucoup de pièces fermées chez moi. Je m’attachai les cheveux, faisant une petite queue de cheval et redescendit dans le salon. Je m’asseyais devant le poil, regardant le feu avec attention. Comment lui dire ça ? La seule personne que j’avais aimée, mis à part Aaron était un jeune homme du nom de Joshua Stewart. Vous deviez sûrement le connaître non ? S’était une grande star, gagnant des millions, chanteur et guitariste dans un groupe de rock qui était connue dans le monde entier. Mais je l’avais quitté après deux ans de romance ; même lui, qui avait partagé deux ans de ma vie, ne savait pas ce que j’allais dire à Aaron. En même temps, Joshua n’étais jamais là à la fin de notre relation, toujours en tourné, et même quand il était à Londres, il ne passer presque plus aucun temps avec moi...Un beau jour, j’en ai eu marre et j’étais partie. Avec Aaron, je savais déjà que ça allait être différent...je l’espérais, car je ne me donnais pas à beaucoup d’homme, à cause de ce passer qui me ronger plus les années passées.
Aaron m’apporta avec sourire son fameux chocolat chaud à la chantilly et s’assit à mes côtés en face du poil. Je lui adressai un petit merci et sans attendre, trempa mes lèvres dans sa « spécialité ». J’adorais le chocolat chaud et la chantilly donnait une certaine légèreté à cette boisson qui réchauffa mon corps. Je passai ma langue sur ma lèvre inférieure sur laquelle il y avait un petit nuage de chantilly. Je lui souris et lui dit ;
Muse – C’est délicieux…j’adore.
Je m’approchai un peu de lui et déposa un baiser sur sa joue. Je me décidai enfin à lui raconter.
Muse – Quand j’étais petite…et bien, j’ai été élevée par des parents qui avaient quelques problèmes d’argents...mon père travaillait dans une usine de dentifrice à Londres et ma mère s’occupait de moi. Avec les nouvelles technologies, mon père a finis par être licencié..S’était déjà difficile de joindre les deux bous lorsque mon père travaillait, alors avec mes deux parents au chômage…mon père n’arrivait pas à retrouver du travail, alors il a commencé à boire…tous les jours, au lieu d’aller chercher du travail, il faisait la tourné des bars et se bourré la gueule à plus en finir…
Je fermai les yeux un instant, pris mon souffle et continua ;
« Tous les soirs, il revenait bourré…ma mère en pouvait plus, un jour, elle lui a reprocher de nous laisser tomber puisqu’il ne faisait aucun effort pour nous faire gagner de l’argent…et là, il l’a frappée…si seulement ça aurait pu arriver qu’une seule fois…tous les soirs, quand il rentrait, il frappait ma mère…elle me disait, avant qu’il ne rentre d’aller m’enfermer dans ma chambre et d’écouter de la musique le plus fort que je le pouvais..Un jour, mon poste était cassé, et j’ai entendue les cris de ma mère sous les coups de mon père…. »
Je fronçai les sourcils…je devais continuer à lui dire. Toute la ville ayant écouté cette émission était au courant. Aaron était l’homme que j’aimais, alors il devait savoir ;
« Quand j’avais environ 12 ans, je ne voulais plus subir ça. On était au fond du trou, on été à la limite de se faire expulser de chez moi…un soir, je ne voulais pas obéir à ma mère, je voulais la convaincre d’aller voir la police...quand mon père entra, bourré, je me mis devant ma mère, pour la défendre. Là, il me donna un coup au visage…après, je ne me rappelle presque plus, je crois que j’ai été sonné pendant une bonne heure. Quand je me suis réveillée, mon père avait battue ma mère encore plus fort que d’habitude…de ma faute, j’en suis sure aujourd’hui. J’étais au bord des escaliers, et mon père passa à côté de moi pour descendre afin de retourner boire un coup. Il était encore un peu dans un état second, il ne marchait même pas droit…et là, je m’en rappelle comme si s’était hier…je dépliai ma jambe et il se prit ma jambe dans ses pieds. Il trébucha dans les escaliers et… »
Je m’arrêtai net. Aaron me regardait attentivement, mais je ne voulais pas affronter son regard. Je ne voulais pas voir de compassion ou de pitié dans ses yeux. Ca y était, j’étais vulnérable...je détestais ça…une larme coula sur ma joue, et je dis d’un ton sec, les sourcils froncés ;
« Il est mort… »
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| Sujet: Re: Confidences...pv.Aaron Jeu 31 Déc - 1:41 | |
| Nous montâmes les escaliers. Les deux étages qu'il fallait. Quand j'entrais je découvris sa maison. Jolie, taillé pour elle. Je me demandais toujours ce qu'elle allait me dire. Je restais là sans rien faire. Elle se dirigea vers le poil pour réchauffer un peu la maison. Puis elle me dit "La cuisine est là-bas, la chantilly est dans le frigo et le chocolat en poudre dans le deuxième placard sur ta gauche." Oki ! C'est bon j'ai compris, où était chaque chose. J'arrivais dans la cuisine, et trouvais facilement tout. Je m'attelais donc à la préparation des chocolats - chantilly. Un fois prêt , je rangeais rapidement la cuisine. Et emmena les chocolats. Elles s'était fait une queue de cheval, elle était belle, là comme ça a assise a coter du poil pour se réchauffer. Je restais un tout petit instant à la regarder. Avant d'avancer vers elle. Un sourire aux lèvres, avec les chocolats en main. Je m'assis a coter d'elle prés du poil. Elle allait me dire ce qu'elle avait dit à la radio. Elle gouta mon breuvage et dit : "C’est délicieux…j’adore". Ça me fit plaisir qu'elle aime, je souris, et elle se rapprocha de moi, en déposant un baiser sur ma joues. Là je commençais vraiment à m'inquiété de se qu'elle allait me dire. Alors elle commença son récit " Quand j’étais petite…et bien, j’ai été élevée par des parents qui avaient quelques problèmes d’argents...mon père travaillait dans une usine de dentifrice à Londres et ma mère s’occupait de moi. Avec les nouvelles technologies, mon père a finis par être licencié..S’était déjà difficile de joindre les deux bous lorsque mon père travaillait, alors avec mes deux parents au chômage…mon père n’arrivait pas à retrouver du travail, alors il a commencé à boire…tous les jours, au lieu d’aller chercher du travail, il faisait la tourné des bars et se bourré la gueule à plus en finir…". Je la vis fermais les yeux et prendre son souffle. C'était tellement personnel ce qu'elle me disais là. Je la serrais un peu plus fort contre moi. Elle poursuivit « Tous les soirs, il revenait bourré…ma mère en pouvait plus, un jour, elle lui a reprocher de nous laisser tomber puisqu’il ne faisait aucun effort pour nous faire gagner de l’argent…et là, il l’a frappée…si seulement ça aurait pu arriver qu’une seule fois…tous les soirs, quand il rentrait, il frappait ma mère…elle me disait, avant qu’il ne rentre d’aller m’enfermer dans ma chambre et d’écouter de la musique le plus fort que je le pouvais..Un jour, mon poste était cassé, et j’ai entendue les cris de ma mère sous les coups de mon père…. » .. Elle fronça les sourcils, je devinais que ce n'était pas finie. Je ne disais rien. La regardais attentivement. Et elle poursuivit « Quand j’avais environ 12 ans, je ne voulais plus subir ça. On était au fond du trou, on été à la limite de se faire expulser de chez moi…un soir, je ne voulais pas obéir à ma mère, je voulais la convaincre d’aller voir la police...quand mon père entra, bourré, je me mis devant ma mère, pour la défendre. Là, il me donna un coup au visage…après, je ne me rappelle presque plus, je crois que j’ai été sonné pendant une bonne heure. Quand je me suis réveillée, mon père avait battue ma mère encore plus fort que d’habitude…de ma faute, j’en suis sure aujourd’hui. J’étais au bord des escaliers, et mon père passa à côté de moi pour descendre afin de retourner boire un coup. Il était encore un peu dans un état second, il ne marchait même pas droit…et là, je m’en rappelle comme si s’était hier…je dépliai ma jambe et il se prit ma jambe dans ses pieds. Il trébucha dans les escaliers et… ». Je savais qu'elle n'appréciais pas être comme ça, si vulnérable. Mais au contraire il n'y avait aucun mal a ça. Tout être humain est vulnérable. Son histoire était triste et horrible. Je l'a voyais fuir mon regard. Une larme coula sur sa joue, et d'un ton sec, sans appel,les sourcils froncé elle dit « Il est mort… ». Je baissais les yeux, et les relever vers elle. Je l'entraînais plus vers moi, je lui pris la visage entre mes mains, j'étais face à elle, à présent, je voulais qu'elle me regarde. D'un geste du pouce, j'essuyais cette larme qui avait couler. Puis je lui dis, doux et délicatement, rassurant :
◘◘ Muse je suis tellement désolé de ce qui t'ai arrivé... C'est tellement horrible ! Mais même si les images, les gestes, les paroles, les cris restent gravé dans ton esprit. Dis toi que c'est fini maintenant. Que grâce a toi ce sal** ne t'as plus fait de mal a toi et ta mère. Aucun homme n'a le droit de touché une femme et encore moins un enfant. C'est tellement sacrée. Les toucher revient à commettre le pire des crimes. Alors Muse écoute moi !
Je l'approcha encore plus de moi, je lui déposais un baiser sur le front, puis sur ses lèvres délicatement. Puis je lui prit la main, et la déposa sur l'endroit où battait mon cœur. Et je lui murmurais en la regardant fixement. Pour qu'elle lise dans mes yeux, que se je disais était vrai.
◘◘ Tu sens mon cœur battre pas vrai ? Et bien se cœur c'est toi qui lui donne la force de battre encore. C'est toi qui le fait vivre. Tu es son oxygène. Tu es mon oxygène. Et jamais, jamais je te ferais ce que se sal** t'as fait et toi et ta mère. Je t'aime Muse ! Et pour rien au monde je te ferais du mal ! Là dans mes bras près de mon cœur tu seras éternellement en sécurité.
Je m'arrêtais, et doucement je l'a serrer dans mes bras. Oui l'as comme ça, elle était en sécurité. Rien ni personne ne la touchera. Puis je continuais lui murmurant à l'oreille :
◘◘ Je sais qui tu es Muse ! Je suis comme toi ! Mais dis toi que parfois pleuré sa fait du bien ! Ma mère me disais toujours quand j'étais petit "Tu sais mon fils, quelqu'un a un jour dit « L'âme n'aurait pas d'arc-en-ciel si les yeux n'avait pas de larmes »". Je ne la croyais pas ! Mais elle disait vrai ! Alors je ne veux pas que tu es honte ou quoi que ce soit. Tu es comme moi Muse ! Mais tu es humaine !
Je m'arrêtais sur ses mots là. J'espérais ne pas trop en avoir dit. Et j'étais fier de son geste envers son père. C'était un sal**** ! Une femme on touche pas. |
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| Sujet: Re: Confidences...pv.Aaron Jeu 31 Déc - 16:19 | |
| Aaron m’avait écouté attentivement, sans dire un mot. Quand j’eus fini, il m’attirait vers lui, encadra mon visage dans ses mains et essuya ma larme. Il me dit alors, d’une voix douce, «Muse je suis tellement désolé de ce qui t'ai arrivé... C'est tellement horrible ! Mais même si les images, les gestes, les paroles, les cris restent gravé dans ton esprit. Dis-toi que c'est fini maintenant. Que grâce a toi ce sal** ne t'as plus fait de mal a toi et ta mère. Aucun homme n'a le droit de touché une femme et encore moins un enfant. C'est tellement sacré. Les toucher revient à commettre le pire des crimes. Alors Muse écoute moi ! » Il avait vu que je ne le regardais toujours pas dans les yeux, je n’avais pas l’habitude d’êtres dans une situation pareil. Il déposa alors un baiser sur mon front, puis sur mes lèvres. Il prit délicatement ma main libre et la posa sur son torse. Il souleva mon visage et je le regardai dans les yeux quand il me dit ; « Tu sens mon cœur battre pas vrai ? Et bien se cœur c'est toi qui lui donne la force de battre encore. C'est toi qui le fais vivre. Tu es son oxygène. Tu es mon oxygène. Et jamais, jamais je te ferais ce que se sal** t'as fait et toi et ta mère. Je t'aime Muse ! Et pour rien au monde je te ferais du mal ! Là dans mes bras près de mon cœur tu seras éternellement en sécurité. » Ce n’était pas tellement des hommes que j’avais peur...non, j’avais plutôt la haine contre eux, même si je savais qu’ils n’étaient pas tous comme ça, même si je savais pertinemment que un homme sur dix, ou peut-être même sur vingt levé la main sur sa femme. Et je savais, oh oui, je le savais, que je ne risquais rien avec Aaron… Il me prit dans ses bras, enroulant ma taille. Je posai ma tête sur son épaule. Je me sentais tellement bien, tellement mieux comme ça. « Je sais qui tu es Muse ! Je suis comme toi ! Mais dis toi que parfois pleuré sa fait du bien ! Ma mère me disais toujours quand j'étais petit "Tu sais mon fils, quelqu'un a un jour dit « L'âme n'aurait pas d'arc-en-ciel si les yeux n'avait pas de larmes »". Je ne la croyais pas ! Mais elle disait vrai ! Alors je ne veux pas que tu es honte ou quoi que ce soit. Tu es comme moi Muse ! Mais tu es humaine ! » Je n’avais jamais montré aucun signe d’émotion envers mon père, ni même envers ma mère lorsque je l’avais tué. Ma mère n’en parla plus jamais, mais j’avais, étrangement, et injustement l’impression qu’elle m’en voulait d’avoir fait ça. Jusqu’au jour, lorsque j’eus dix huit ans, lorsque je commençais à ne plus avoir ma langue dans ma poche, quand je lui demandai si elle m’en voulait. Et elle avait dit « oui ». Ma mère, qui se faisait battre par mon père chaque soir de sa misérable vie de femme m’en voulait d’avoir tué cet homme, cet homme qui m’avait frappé une fois, cet homme qui l’avais salie. Alors parfois, dans la noirceur de la nuit, seule dans ma chambre, je me disais que j’avais eu tord. J’étais vraiment conne… Pourquoi pleurer ? Je n’avais pas de quoi pleurer, j’avais tué un sal***. Il le mérité. Non ? J’étais forte et je détestais pleurer. Tout en restant dans ses bras, je lui dis ;
Muse – Je ne veux pas verser une larme de plus pour lui…
Je reculai doucement et le regarda. Peut-être était-il le bon ? Celui avec qui j’allais passer ma vie, celui qui me demanderait ma main, celui en qui j’aurais totalement confiance, celui avec qui j’aurais des enfants. J’avais déjà 26 ans, et j’avais entendue dire qu’à 40 ans, on faisait déjà moins bien des enfants, il ne me restait pas beaucoup de temps. J’aurais aimé en avoir deux. Une petite fille...j’avais toujours rêvé de l’appeler « Jude », comme dans la célèbre chanson des Beatles que j’aimais tant, « Hey Jude ». Et un petit garçon, un garçon qui aurait les yeux d’Aaron, son sourire. Je passai ma main sur son visage, lui souriant.
Muse – Je voulais juste que tu saches…c’est aussi un peu pour ça que j’ai du mal avec les hommes…mais je sais, que jamais tu me feras souffrir autant que lui m’a fait souffrir toutes ses années…
Je m’approchai lentement. Posa ma tasse de chocolat à terre, à mes côtés et enroula mes bras autour de son cou, l’embrassant comme j’avais je n’avais jamais embrassé un homme. J’étais confiante. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Confidences...pv.Aaron Jeu 31 Déc - 18:39 | |
| Tout en restant dans mes bras elle me dit "Je ne veux pas verser une larme de plus pour lui…". Elle n'avait pas tord d'un coter. Je souris puis elle recula doucement et me regarda et me dit " Je voulais juste que tu saches…c’est aussi un peu pour ça que j’ai du mal avec les hommes…mais je sais, que jamais tu me feras souffrir autant que lui m’a fait souffrir toutes ses années…". Je ne l'a ferrais jamais souffrir. Un homme ne doit pas faire ça. Une femme c'est un trésors qu'il ne faut pas toucher, un joyaux si précieux. Puis s'approcha lentement de moi, posa sa tasse de chocolat chaud, la mienne était déjà finis et posé a coter de moi. Puis elle passa ses bras autour de mon cou, et m'embrassa, elle m'embrassa comme jamais je n'avais reçut cela. Elle paraissait confiante. C'était ce que je voulais qu'elle soit confiante. Qu'elle est confiance. Je lui rendis son baiser. Je n'avais jamais reçu un baiser comme ça. Et j'étais au ange. S'il vous plaît trouver quelque chose pour qu'on puisse arrêté le temps. Parce que là j'en aurais vraiment besoin, nous en aurons drôlement besoin. Je voulais que cela ne s'arrête jamais. Je voulais qu'elle reste comme ça avec moi. Je voulais être pour toujours auprès d'elle. Parce que je n'avais jamais autant aimé une fille que Muse. Elle était celle à qui j'avais donné entière confiance, avec qui j'étais doux, et rassurant. Elle était mon papillon parmi les lions, elle était la plus grande étoile qui guidait mes pas, elle était ce souffle d'oxygène qui permettais au cœur de vivre, elle était mon ange. Quand le baiser fut malheureusement terminé, je me reculais un tout petit peu, puis je passais ma main dans ses cheveux. Et je murmurais :
&& J'en voudrait encore un comme ça Mademoiselle Wellington !!
Sauf que c'est moi qui allait a la rencontre de ses lèvres, comment y résister ? Hein ? C'était impossible ! Quand l'amour vous tombe entre les mains. Il faut le tenir fort très fort, et ne surtout pas le lâcher, surtout avec Muse. Elle était tellement belle et adorable. Alors entre deux baisers je lui murmurais :
&& Muse Wellington... Je t'aime tellement.... Et je voudrais passé le reste de vie avec toi..... - un baiser -.... C'est toi qui détient mon cœur à présent.
On change pas un romantique. Car malgré tout ce que j'étais, je suis quand même un grand romantique. Qui ne prend pas l'amour à la légère.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Confidences...pv.Aaron Sam 2 Jan - 21:26 | |
| C’est lui qui mit fin à la magie de se baiser. Il se recula, passa sa main dans mes cheveux et me murmura ; « J'en voudrais encore un comme ça Mademoiselle Wellington !! » Je n’eus pas le temps de répondre de ses envies qu’il s’approcha et me donna un autre baiser, aussi doux que sa voix. « Muse Wellington... Je t'aime tellement.... Et je voudrais passer le reste de vie avec toi..... - un baiser -.... C'est toi qui détient mon cœur à présent ». Je me reculai et lui souris. Ce matin, en me levant, je n’aurais jamais imaginé que j’allais passer une fin de journée aussi belle…s’était une des plus belles après midi de ma vie. Un de mes objectifs que je m’étais lancé cette année venait d’être atteins : dire à l’homme que j’aimais –en l’occurrence, Aaron –que je l’aimais et enfin –oh oui enfin –vivre une histoire d’amour, avec un grand A, digne des plus grands contes de fées. Et cette histoire, notre histoire ne venait que de commencer. Je le regardais attentivement, le sourire aux lèvres. Ce grand brun faisait complètement chavirer mon cœur. Son visage était éclairé par la buche qui succombait aux flammes dans la mini cheminé, la chaleur de celle-ci commençait à se faire sentir dans mon dos.
D’un geste lent, je détachai mes cheveux qui tombèrent en batailles sur mes épaules. Je m’avançai et l’embrassa encore. Si je devais m’écouter, je serais toujours en train de faire ça, l’embrasser. Là, je me sentais tellement bien et lorsqu’il me serra contre lui, enroulant ses bras autour de ma taille, une onde de frisson parcourra tout mon corps. Je passai ma main dans ses cheveux, remuant mes lèvres contre les siennes et laissa mes mains derrière sa tête. Je le voulais là, près de moi, pour toujours. Depuis quand n’avais-je pas été amoureuse ? Depuis Joshua…lui aussi m’avais donné une raison supplémentaire de détester les hommes…nous avions rompus car il m’avait oublié, il ne se préoccuper plus de moi et je détestais ça. Entre deux baisers fougueux, je dis alors à Aaron ;
Muse – Promet moi que tu ne m’oublieras pas…
Je reculai un instant et le regarda dans les yeux tout en restant à quelques centimètres de son visage, les mains toujours derrière sa tête. Je fronçai les sourcils et lui dit ;
Muse –Promet moi que tu ne me laisseras pas tombé pour la première fille plus jolie ou plus intelligente venue…je…ne supporterais pas un autre échec amoureux…
Je savais qu’une promesse pouvait être brisée, je savais que peut-être que malgré sa promesse, nous pouvions toujours nous séparer, mais à ce moment même, le doute plané en moi. Avais-je pris la bonne décision de me laisser allée dans les bras d’un homme ? Quelle idiote j’étais…Aaron était le bon, j’en étais presque certaine. J'avais juste peur de lui donner mon cœur, j'avais le sien et je comptais bien le garder, mais j'avais tellement peur qu'il ne fasse un jour ou l'autre trop mal au mien... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Confidences...pv.Aaron Lun 4 Jan - 23:09 | |
| Elle détacha ses cheveux. Elle était tellement belle, et elle sentait bon. Ben quoi c'était la vérité après tout. Elle m'embrassa de nouveau, et je savourais une fois de plus se moment si délicieux. Je la serra contre moi, les bras autour de sa taille. Sous le bonheur et le charme de ses baisers si doux et fougueux, ainsi que merveilleux. Elle passa ses mains dans mes cheveux, et continuais de m'embrassais, j'adorais qu'elle me passe sa main dans ma cheveux, je ne sais pourquoi mais j'appréciais. Certes entre le baiser et les cheveux je préférais les baisers. Entre deux baiser fougueux elle me dit "Promet moi que tu ne m’oublieras pas…". Comment pourrais-je l'oubliais ? Impossible ! Elle reculais un instant, et me regarda, elle finis par froncer les sourcils, son visage a quelque centimètre du mien, ses mains derrière ma tête et elle poursuivit " Promet moi que tu ne me laisseras pas tombé pour la première fille plus jolie ou plus intelligente venue…je…ne supporterais pas un autre échec amoureux…". Trouver plus jolie qu'elle ? Impossible elle était la plus belle à mes yeux ! Avoir une autre fille dans mes bras ? Impossible aussi, je ne voulais que elle. Et j'allais lui promettre qu'aucun fille ne la remplaceras, parce qu'aucune fille ne lui arrive à la cheville. J'ai eu mon coup de foudre pour Muse, donc rien ni personne ne l'a remplacera dans mon cœur , dans ma vie. Lui brisé le cœur ? Jamais, je ne me le pardonnerais jamais. Elle était tout et elle sera tout. Je la regardais dans les yeux, plongeant mes yeux dans les siens, je m'y noyais dedans, je lui souris rassurant, et sincèrement, je lui dis :
&& Muse.. Personne ne te remplacera.. Et je te promet tout ca.. Je te promet que je ne te laisserais pas tombé pour la premier fille plus jolie.. Ce qui est d'ailleurs impossible vue que c'est toi - sourire d'ange - .. Mais je te le promet quand même. Je te promet de t'aimais, de te chérir, et de te protéger jusqu'à la fin de ma vie.
Je passais ma main dans ses cheveux blond que j'appréciais tant. Et je posais mes lèvres sur les siennes, pour conclurent tout ce que je venais de dire. Et a l'oreille entre ce baiser et un autre je lui murmurais un "Je t'aime".
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Confidences...pv.Aaron Jeu 7 Jan - 17:32 | |
| A ses mots, un léger sourire se dessina sur mon visage illuminé par la buche se consommant par le feu de la cheminée. Dehors, le cil devenait de plus en plus sombre. En ce mois de Décembre, les jours étaient de plus en pus courts. Seul les flocons blancs de neige tombant dans les rues déjà enneigées de Londres étaient visibles, contraste entre ce blanc et la noirceur du ciel. Dans mon loft, seul la cheminée éclairait le salon. Toutes les autres pièces étaient plongées dans un noir presque inquiétant. J’avançai légèrement ma tête vers Aaron, le fixant dans les yeux et posa mon front contre le sien. Sentant chacun de ses souffles contre ma peau, contre mon visage, je fermai les yeux et mordilla ma lèvre inférieure. Tout était si parfait, trop parfait…trop beau pour être vrai, trop beau pour durer…
Je me rappelais parfaitement avoir déjà ressentie cette sensation de bonheur avec Joshua, mon ex petit ami. Je me rappelais encore de la première fois qu’il m’avait dit « je t’aime ». A l’époque, je n’étais pas la même. Méfiante envers les hommes mais pas autant qu’aujourd’hui, j’étais une jeune fille avec beaucoup moins d’assurance, beaucoup moins de tact, moins calculatrice et manipulatrice. S’était les hommes qui m’avaient rendue comme cela…en faite non, s’était un homme, Josh… Et à chaque fois que je le voyais à la télé, je pensais à notre histoire. A chaque fois que j’entendais sa nouvelle petite création qui faisait fureur dans le monde entier, sa nouvelle chanson parlant d’amour perdu, d’homme malheureux à cause d’une femme, je comprenais qu’il parlait de nous. Lorsque j’avais rompue avec lui car il pensait plus à sa carrière qu’à moi, je m’étais promise de ne plus jamais tomber amoureuse et encore moins d’un homme de pouvoir. Aaron n’était pas un homme de pouvoir mais il avait un minimum de popularité, il avait quand même écrit quelques best-sellers (que j’avais dévorés) et il était très beau garçon…bref, il avait tous les critères du genre d’hommes avec lesquels je ne voulais plus ressortir…Mais je l’aimais tellement et maintenant qu’il était là, avec moi, je me rendais compte que s’il venait à disparaitre de ma vie, ça me serait insupportable.
« Arrête de toujours te poser des milliers de questions Muse et laisse toi aller… » Murmura la petite voix qui me parler dans ma tête. Pour une fois, je décidai de l’écouter et j’ouvris les yeux. Je lui souris à nouveau et déposa un baiser sur le coin de ses lèvres. Je reculai et attrapa ma tasse encore chaude. Je plongeai mes lèvres dans le chocolat chaud et sentis la chantilly me chatouiller les lèvres, avalant le liquide chaud que je sentis traverser ma gorge. Après cette dégustation, je lui demandai d’un ton curieux ;
Muse – Alors, tu es en train d’écrire un roman en ce moment ?
Vu comment j’avais adoré les précédents, j’avais juste hâte de lire une nouvelle histoire sortie tout droit de l’imagination de l’homme que j’aimais plus que tout au monde. |
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| Sujet: Re: Confidences...pv.Aaron | |
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