« c'est noël, petite sœur. j'aimerais tellement qu'on se revoit. tu sais, tu me manques beaucoup. » si elle lui manquait, pourquoi ne venait-il pas la voir la plus souvent ? pourquoi l'avait-il lâchement abandonné pour vivre à los angeles et enseigné à l'ucla. franchement, ne méritait-elle pas le soutien de son grand frère ? « ouais. c'est ça. bon, je te laisse. j'ai un rendez-vous. » pure invention. « ah. salut petite sœur. » elle raccrocha sans même lui dire salut, il ne le méritait pas. il savait très bien qu'elle n'avait pas de rendez-vous. elle lui en voulait d'être partit. il aurait très bien pu enseigner à l'université de londres, non ? ainsi, il aurait pu continuer à la pousser. à lui montrer l'exemple. mais non, il était partit à l'ucla. oh la la. l'université californienne de los angeles. franchement, qu'est-ce que ça faisait ? rien de plus. à part que c'est l'une des plus grandes. elle aurait tellement aimé y aller. mais sa peur bleue des etats-Unis l'en empêchait. cette pensée la poussa a retomber dans le passé. elle repensa à sa mère, couchée sur son lit, la souffrance figée sur son visage habituellement magnifique. elle aurait tellement adoré avoir une meilleure dernière image de sa mère mais non. maintenant, c'était comme ça qu'elle lui revenait. et puis son père, qui avait bêtement sombré dans le désespoir peu après la mort de sa bien-aimée. s'il était resté fier, s'il n'aurait pas plongé dans l'alcool, s'il ne se serait pas mit à mépriser sa propre fille encore plus que d'habitude, alors peut-être, qu'elle serait resté pour le soutenir, peut-être qu'elle aurait appris à l'aimer comme un père et non comme le mari de sa mère. elle l'aurait sûrement aimé. mais bon, c'était comme ça un point c'est tout. il avait tout gâché. veynus baissa les yeux sur ses genoux découverts. en angleterre, en plein hivers, elle se baladait en short dans son appartement. d'accord, le chauffage existait et l'argent ne manquait pas chez elle. mais même. sa mère l'aurait vu, elle lui aurait ordonné de mettre un pantalon. elle commença à avoir la vu brouillée par les larmes. elle se releva et entreprit de s'habiller. un simple jean, une simple chemise à carreaux et des converses. quoi de plus simple ? elle se précipita dans la salle de bains, comme quand elle était petite et qu'elle faisait la course pour avoir la salle de bains avant son frère. elle ferma la porte et retira son short et son vieux t-shirt noir. e,,e le jeta dans une panière. elle se lava rapidement, elle enfila ses sous-vêtements et ses habits toujours aussi rapidement. un coup de brosse dans les cheveux suffisait. pas de maquillage. la s-i-m-p-l-i-c-i-t-é. elle se dirigea vers la porte d'entrée, enfila sa veste en cuir et sortit.

enfin dehors. elle inspira profondément et souffla avant de se lancer dans la fraîcheur de noël. noël. oh. il devait donc y avoir le marché. elle se mit à suivre une mère avec des enfants. ils allaient forcément au marché de noël afin d'acheter des cadeaux. une fois là-bas, elle se mit à rêvasser devant les jouets en bois faits artisanalement, les bougies artisanales elles-aussi. cependant, elle tourna rapidement la tête quand se trouva prêt des stands de nourriture. elle se stoppa et regarda autour d'elle. où pouvait-elle aller ? elle s'avança. rentrer était peut-être la meilleure solution, répéter un morceau ou encore réviser. la criminologie n'étant pas de tout repos. ou peut-être aller voir son amie jenayziah ? elle devait être entrain de se lamenter sur son sort. elle aurait sûrement besoin d'un réconfort. ouais, bonne idée. veynus accéléra le pas mais fut brutalement stoppé par un corps masculin juste devant elle. elle glissa et se retrouva le derrière au sol. elle releva les yeux en apercevant une main tendue devant elle. « aaron. » souffla t-elle avant de se relever sans son aide.

Aujourd'hui en me levant, et en regardant pas le fenêtre, voyant tout ces gens se dirigeais vers un lieu dont je connaissait toute à fait l'existence. Ses mères avec leur enfants qui aller au marcher de noël. Un super grand marcher, jolie à voir. D'après se que l'on disait. Enfin bon, je m'assis derrière mon bureau en quête d'inspiration........qui ne vint pas. Alors je décidais d'aller moi aussi faire un tour dans se marché, peut être trouverais-je l'inspiration pour la suite des aventures de mes livres. Je m'habillais donc, d'un jean légèrement délavé, d'un sweet rouge et une veste en cuir noir. Une père de basket, un coup de peigne rapide. Et en route pour le marché de noël. Je pris mes pieds pour y aller, n'ayant pas de voiture, puis de toute façons c'était la folie. Arrivé là-bas, je commençais à regarder les stands, c'est vrai que c'était super jolie. Je me rappelais quand j'étais petit, et que l'on fêter noël en famille. La maison était tellement bien décoré, il y avait un grand sapin et plein de décoration. Et on fessait tout les marchés de noël des environs. Ses souvenirs là me donnèrent envie de revenir à cette époque où j'étais heureux. Puis étant dans mes pensées je ne fessais guère attention de là où je marchais. C'est comme ça que je me retrouvais à tamponner une jeune fille, qui malheureusement glissa, par terre. Je lui tendis la main, mais quand je vis qui elle était , je fis un regard surpris. On ne c'était pas quitté en bon terme, disons, ça comme ça, elle m'avait embrasser, je l'avais refoulé. D'ailleurs elle se releva sans mon aide en soufflant « aaron. ». Je lui souris quand même et je dis :

&& Veynus ! Tu t'es pas fait mal j'espère ?

Ben quoi la pauvre ! Fallait quand même que je m'assure qu'elle ne c'était pas fait mal. Et je dois dire qu'elle n'a pas changer. Elle a qu'elle âge aujourd'hui, elle devait avoir dix-neuf ans a peu près, si mes calculs sont bon. Je lui souris tout de même, même si on c'était séparé pas très bien j'avais quand même passé de bon moment avec elle.