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| Pari à Paris; euh, à Londres ! [PV : Sixteen J. Atwood] | |
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Invité Invité
| Sujet: Pari à Paris; euh, à Londres ! [PV : Sixteen J. Atwood] Lun 28 Déc - 1:05 | |
| Nous sommes en plein coeur de South Houston. Un quartir plus connu sous le nom de Soho. Le seul quartier de Londres dans lequel il ne faut pas se trouver après 22h00. Old Compton Street, ses pubs, ses bars gay, ses 250 sex-shops, et je pourrai vous en débaler une liste longue comme le bras. Je pourrai récolter des années de prisons, seulement en vous disant ce qui se passe ici. Si ce que je vous ai dit vous a suffit, il est encore temps de sortir de ce bar, ou au contraire d'y rester pour ne pas faire connaissance trop vite avec les prostitués, les ivrognes, et les personnes aux idées moyennement orthodoxes qui rodent à l'extérieur. "Ce bar" designe muse's utopy, là ou les trainées et les dealers viennent chercher fortune. Il n'est même pas encore minuit, et pourtant un dealer moyen se sera fait ce soir 450€, la police aura déjà fait 6 fois son apparation et le proxénétisme aura gagné de quoi devenir la première industrie d'Angleterre ... Mais bien loin de tous ces problèmes, un beau brun est déjà en train de se tortiller sur la piste. Et d'ailleurs, il n'est pas homme à passer la soirée tout seul, en effet, ce soir, Tony a déjà senti le doux parfum de trois jeunes femmes et son projet n'est pas de s'arrêter, croyez-moi. Lui ne sera pas inquiété cette nuit, il faut dire que son physique a rarement inspiré les agresseurs. Lui peut se permettre d'arriver en polo Ralph Lauren, pourvu qu'il moule bien ses bras bodybuildés. Bien sur il n'est pas venu seul, mais ses meilleurs amis, eux, sont déjà en train de planer. L'un d'eux, après avoir enrichi plusieurs vendeurs d'ecstasy, se prend pour un avion dans les toiletttes. Un deuxième, à ses côté, gueule, puis dégueule. Le troisième rembourre de billets le soutien-gorge d'une strip-tiseuse, qui a d'ailleurs l'air d'apprécier la matière. Anthony, de son côté, n'a jamais fumé; mais rassurez-vous, il n'est pas straight edge pour autant. Il lui arrive de puiser son bonheur dans l'alcool mais sa vraie drogue, c'est surement les femmes. On ne peut pas dire qu'il soit prétencieux, disons seulement qu'il est conscient que ces dernières résistent rarement à son charme. Il n'y a pas de mal à se faire du bien. Cependant, on connait tous ce moment dans une soirée où les vapeurs de l'alcool, se mêlant à la musique, comment à tambouriner dans notre tête. Et comme il n'y a rien de plus désagréable que ce moment-là, le bel avocat laisse alors en plan ces charmantes demoiselles et décide d'aller s'asseoir un moment. Là, il croise un regard qui ne lui ait pas inconnu, et croyez-moi, des yeux comme celà, on ne les oublie pas. Euh, attendez que je réfléchisse, un prénom en ine ... Sixteen ! Voilà c'est bien ça. Enfin, celà ne change rien au fait qu'elle ne doit pas le connaitre; une connaissance d'une connaissance. Le jeune homme a une bonne mémoire des noms. Surtout que, des nanas comme elle, on n'en voit pas beaucoup et on les oublie rarement. Bon, un vrai gentleman fait toujours la conversation aux demoiselles ...
Salut. Sixteen c'est ça ? ... Moi c'est Tony. Tu dois pas voir qui je suis, enfin moi je sais qui tu es, c'est le principal. Et ça vient pas de l'alcool, où alors j'ai été très chanceux de trouver le bon prénom. Bon, ce soir je trouve que les nanas sont un peu faciles, pas beaucoup de niveau. Enfin, au moins ça fait des choses à raconter le lendemain ... Bon, j'ai rarement l'occasion de voir une fille comme toi à Soho. Qu'est-ce-qui t'amène ici ? T'es pas venue seule au moins ? |
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| Sujet: Re: Pari à Paris; euh, à Londres ! [PV : Sixteen J. Atwood] Mar 29 Déc - 16:15 | |
| Après 22h00, il était vrai que ce quartier était dangereux pour les jeunes demoiselles. Et pourtant, Sixteen marchait avec classe, sur la route, et pas sur le trottoir, à l’aise dans ses talons hauts. Direction le muse’s utopy. Ce soir, c’est sur la piste qu’elle allait faire son chaud. Dans son mini-short vert taille 36 et son top jaune qui mettait sa poitrine en valeur. Rien n’était laissé au hasard, tout était fais pour attiser le regard. Son sourire laissait paraitre ses dents blanches, un sourire éclatant qu’elle gardait constamment pendu aux lèvres, pour rayonner un peu plus. De temps à autre, vous pourrez la voir se mordre la lèvre inférieur, ou passer sa main dans ses cheveux soyeux. Elle approchait du bar et se faisait dévisager par bien du beaux monde. Mais pleine de prétention, elle ni prêtait même pas attention. Une fois dans le bar, son premier réflexe fut d’aller au bar pour commander un verre. Histoire de se « mettre » dans l’ambiance. En s’accoudant au comptoir, le serveur se retourna en souriant.
- Sixteen Atwood. Tu bois toujours la même chose ? - Oui, on change pas les bonnes habitudes !
Oui, c’était une habituée, et depuis un certain temps déjà. Souvent, elle venait avec Candice , sa meilleure amie, de nombreuses fois, se serveur à du les ramener chez elles tellement elles avaient bu. Mais que voulez-vous ? Jeunesse-ivresse & décadence.
Une fois son verre servis, elle remercia son ami & s'éloigna. Le comptoir était l'endroit préféré des dealers et des ivrognes, et aujourd'hui, elle ne venait pas pour ça. Alors elle s'avança au milieu de la piste, croisa des regards, salua quelques connaissances, et dansa collé-serré quelques minutes avec un de ses vieux amis. Avant de que la musique ne se termine, elle lui déposa un léger baiser sur la joue, y laissant la trace de son rouge à lèvre. Sixteen laissa les gens comme ça, insatisfait, surtout les hommes, qui en veulent toujours plus. Jouer, c’était surement son passe temps favoris. Avec hommes ou femmes, elle aimait faire monter la température, draguer, provoquer & puis au lieu de conclure, elle laissait tout en plan. La gent masculine lui en voulait tout particulièrement pour ça. Les hommes n’aiment pas être laissés en plan, leur petit égaux en prend un coup, et croyait moi, Sixteen y trouvait une certaine satisfaction dans ses petits coups de vices.
Tout en se trémoussant sur un tube du moment, elle cherchait une table libre du regard. Quand elle aperçut enfin une, elle contourna les tas de jeunes agglutinés et collés tels des sangsues, et finit par s’asseoir sur la banquette en cuir rouge. Elle bu une gorgée de sa boisson alcoolisée, quand soudain, une main vint se poser sur son épaule, et une personne au visage familier s’assit à ses côtés. La jeune brune ne prononça pas un mot et fixa son regard sur la piste de danse.
« Salut. Sixteen c'est ça ? ... Moi c'est Tony. Tu dois pas voir qui je suis, enfin moi je sais qui tu es, c'est le principal. Et ça vient pas de l'alcool, où alors j'ai été très chanceux de trouver le bon prénom. Bon, ce soir je trouve que les nanas sont un peu faciles, pas beaucoup de niveau. Enfin, au moins ça fait des choses à raconter le lendemain ... Bon, j'ai rarement l'occasion de voir une fille comme toi à Soho. Qu'est-ce-qui t'amène ici ? T'es pas venue seule au moins ? »
Sixteen laissa au jeune homme le temps de dé blablater son flot de paroles. Elle tourna enfin la tête en regardant le fond de son verre, de là elle commença son fameux tour de passe passe avec ses yeux. Les yeux baissés donc, d’abord, elle laissa échapper dans un murmure à peine audible.
- Je sais qui tu es.
Dans un mouvement habile, elle tourna son buste un peu plus vers lui et sourit en relevant doucement les yeux.
- Aucun homme n’est à la hauteur non plus il faut croire.
Elle leva les yeux au plafond, pour que la lumière accentue leur clarté (..)
- Je suis venue seule, et je viens pourtant bien souvent ici. Soho est un quartier que j’aime tout particulièrement.
La jeune femme avait posé sa tête dans la paume de sa main et regardait Tony attentivement. Tout ce petit jeu avait beau être un jeu, c’était devenu dans une habitude pour Sixteen de se comporter ainsi avec toutes personnes.
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| Sujet: Re: Pari à Paris; euh, à Londres ! [PV : Sixteen J. Atwood] Ven 1 Jan - 19:53 | |
| Le beau Tony a à peine le temps de finir sa phrase que la tension commence à monter dans le bar. Minuit, l'heure exacte à laquelle on ne peut se trouver ici que lorsque l'on est vraiment sur de soi. Pour tous, les bouteilles d'alcool se suivent et ne se ressemblent pas. Tout à coup, un grand silence se fait. Une bouteille qui se brise, des mains pleines de sang, et c'est comme ça que démarrent les traditionnelles chasses à l'homme des "Gangs of London". Ce soir, le quartier de Soho n'est décidemment pas un lieu sur, et, bien qu'il ne la connaisse que de vue, Tony préfère voir Sixteen en sa compagnie que toute seule. Malgré le caractère bien trempé de la jeune femme, il doute fort qu'elle puisse faire quelque chose si elle venait à être inquiétée. Tony, à côté, n'a rien à envier aux plus grands caÎds londoniens. Il est vrai que c'est aussi un jeu auquel il aime bien jouer. Le beau brun arbore une chemise blanche Azzaro surmontée d'un magnifique smocking noir qui lui à côté une fortune, et le mot fortune n'est pas exagération. Cette petite habitude lui a valu quelques fois d'être demandé aux côtés des grands hommes de la City pour tremper dans des affaires plus ou moins légales. Bien sur, il y aurait une petite part d'excitation dans cette mise à l'épreuve, mais le futur avocat se doit de garder un casier vierge. Enfin bref. Après avoir déblatéré cette longue tirade qui n'a guère l'air d'intéresser Sixteen, Tony reprend son calme pour écouter ce que la jeune femme a à lui dire. D'un signe de la main, il salue quelques connaissances puis replonge son attention sur Sixteen. Elle lui dit d'abord qu'elle sait qui il est, la tête dirigée vers son verre, un peu comme si il lui avait fait une crasse. C'est vrai qu'en soirée il lui arrive de se mettre dans des états ... seconds, mais il ne lui semble pas avoir déjà eu à faire à la jolie brune. Mais Tony se rassure bien vite lorsqu'il voit Sixteen relever la tête pour lui sourire. Aucun homme n'est à la hauteur ? ca se tient ... Jusqu'à maintenant bien sur.
C'est normal, tu m'avais pas encore rencontrée. Une nana sur trois dans cette boite te le dira. Tu trouveras pas l'homme parfait ici. T'as juste à venir et à profiter, sans penser aux autres. Tu sais, généralement, ce qui se passe ici y reste, et si tu viens souvent tu dois le savoir. Ce soir j'ai fais rêver 14 nanas exactement, que je reconnaitrai même pas si je les croisais dans la rue. Demain je suis invité à la réception d'une des plus riches millionnaires de Londres, je vais arriver à son bras, elle sera contente et je vais me faire un blé pas possible alors que cette vieille en silicone elle me dégoute ... Ce soir je vais t'apprendre à profiter de la vie !
Tony rigole. Il est conscient qu'il va un peu dans la provocation avec Sixteen mais sait qu'une jeune femme qui passe ses soirées à Soho a forcément ce petit grain de folie. D'ailleurs, elle lui confie qu'elle aime tout particulièrement ce quartier. Tony prend alors la main de Sixteen pour l'entrainer sur la piste. Comme la musique et forte, il s'approche pour lui parler à l'oreille et lève un peu la voix.
T'inquiètes, t'es mon coup de coeur de la soirée, pas une victime de plus. Ca me rend triste que tu reste assise parce que t'en ferais tourner des têtes ! Enfin si tu te sens à la hauteur bien sur ... |
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| Sujet: Re: Pari à Paris; euh, à Londres ! [PV : Sixteen J. Atwood] | |
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