Nom: Atwood
Prénom: Sixteen Jude
Âge: 24 ans
Origine: Australienne
Métier/Étude: Photographe & Model
Groupe: you envy me, i know.
avatar: Megan Fox

Douce Attachante Drôle Libertine Séductrice Capricieuse & Impulsive

Mary-Jane Atwood était ma mère. Elle est morte après avoir donné naissance à mon jumeau et moi. Deux naissances, un décès, mon père ne s’en est jamais vraiment remis. Car rien ne compense la mort, pas même la présence de deux petits être, aussi mignon qu‘ils soient. Mon père a aujourd’hui encore, du mal à m’assumer. J’ai tué la femme qu’il aimait. Pourtant, j’ai du vivre sans la présence de ma mère et lui aussi. J’y pense souvent, mais que pouvais-je y faire de plus ? Rien. Alors, il a élevé mon frère et moi, tout seul. Jamais je ne reprocherais quoique se soit à mon père, Josh Alexandre Atwood était surement le meilleur père du monde. Et c’était le mien. D’après lui, j’avais hérité de la beauté suprême de ma mère, ainsi que ses yeux. Il me vouait un vrai culte et veillait sur moi jour et nuit. Tandis que j’étais sans arrêt dans ses jambes , (des que j’ai su marcher d’ailleurs), David lui, devenait un vrai petit gars. Mon père c’est moins occupé de mon frère, par principe. Un garçon grandit, à besoin de repère, mais pas autant qu’une fille, pas autant que moi, sa petite princesse. Nous n’avions jamais manqué de rien. Il cédait à tout nos caprices et demandes. Notre demeure ressemblait au palais de Dora l’exploratrice. J’aimais tout particulièrement les poupées, et les têtes à coiffer. Je trouvais Barbie merveilleuse, et je voulais devenir aussi célèbre que la jolie blonde. Et en grandissant, il s’est avéré que mon rêve allait devenir réalité. Aux bal de fin d’années, je me rappelle que j’étais toujours élue «  Miss Sunshine ». Je n’avais que 9 ans, mais tous me trouvait tellement mignonne et à croquer. Mon entrée dans l’adolescence, ou l’âge ingrat a été pour moi une révélation. J’ai eu une poussée de croissance, j’ai commencé à avoir de la poitrine, j’ai aussi eu le droit de me maquiller. Mais sachez que je n’ai jamais eu besoin d’abuser sur le maquillage, j’avais le teint naturellement hâlé, aucune impuretés et des traits fins, un visage parfait parait-il. Depuis toute petite, on ne m’a jamais cessé de parler de mon physique, et bientôt, on s’extasiait devant ma petite personne, sans que j’ai eu demandé quoique se soit. Tout ça à commencé avec mes yeux, mes yeux bleus glaces, qui émerveillent et surprennent. Alors, j’ai eu l’idée de mettre en valeur chaque détail de mon « moi ». Dont mon petit jeu avec les yeux, je les baisses, je marque un temps, et je les relèves pour les poser sur la personne. Et puis, je lève la tête, pour que la lumière accentue leur clarté. Et là j’attends, j’attends de détecter sur leur visage, une expression d’émerveillement, et puis, la phrase suivante « quels yeux extraordinaire! », et toujours je remercie. On m’a souvent complimenté sur mes cheveux, doux et soyeux (..) et tout le reste de ma plastique. La beauté et quelque chose qui attire, et croyez-moi à l’adolescence, se sentir désiré augmente la confiance en sois. Alors que je faisais déjà les couvertures de quelques magazine pour ados, j’ai commencé à m’intéresser aux garçons. Même les pauvres types s’intéressaient à moi, ainsi que les « beaux gosses », mais je ne voulais pas d’eux. Je voulais Enzo, à l’époque, le beau guitariste. Mais lui voulait sortir avec Angie, et n’en démordait pas. Alors j’ai laissé tomber. Durant toute la période du collège et du lycée, je suis sortie avec beaucoup de garçons, mais aucun ne me plaisaient réellement. Peut-être suis-je trop difficile ? Une éternelle insatisfaite ? Les études ne m’attrayaient guère, alors, j’ai supplié mon père de me laisser à la maison, une fois que j’ai eu 17 ans, pour pouvoir étudier la photographie seule. Il n’y a jamais cru, et pourtant, m’a laissé faire. Pendant plus d’un an, je bouquinais mes conseils photo et je faisais du mannequinat, pour gagner des sous. Je trainais dans les bars le soir, en quête de je ne sais trop quoi, et je dansais, comme une folle, toute seule, je n’ai jamais eu d’amis pour m’accompagner, mais cela ne me gênée pas. On regardait que moi sur la piste, et jamais sentir les regards posés sur moi, j’ai eu fais de la danse, et je me déhanchais plutôt bien. Jusqu’au jour ou j’ai rencontré Jayden. Il s’est présenté comme un homme possédant une boîte de nuit, et qui recherchait des danseuses. Et j’ai accepté, ayant besoin de matériel pour avancer dans mes photographies, je pouvais me faire de l’argent sans trop d ‘effort. Tous les samedis soirs, masquée et vêtu d’une tenue légère je trémoussais mon corps sur des rythmes endiablés. Mon patron, Jayden Collins a été mon coup d’un soir, mais aussi mon premier amour, mais je n’ai jamais osé lui dire (..). Un amour à sens unique ? Je n’ai jamais su. Mais j’étais trop fière pour prendre le risque de me prendre un « vent ». Pourtant, il était fait pour moi, je l’aimais, j’en étais sure. J’ai du arrêté de travailler pour lui, je n’en pouvais plus de cette situation. Les amours non avouables, c’était pas mon truc. Perdue et désarmée, j’ai commencé à être très arrogante et très méchante avec la gent masculine, qui me l’a fais payé, sans aucune pitié. J’en suis encore aujourd’hui à jeter les garçons comme des kleenex, à rechercher celui qui pourrait me satisfaire le plus et ensuite, l’abandonner, je jamais le rappeler, par simple vengeance. La journée, je me vouait à la photographie, j’ai même ouvert mon studio depuis peu. J’en suis tellement fière. Atwood’s Studio. Car oui, mon associé est mon frère, et un de mes modèles d’ailleurs. Mes photos s’arrachent à des prix exorbitant et je n’ai même plus besoin de jouer les mannequins, à par pour le plaisir. J’habite un loft plutôt confortable, en colocation avec Candice, ma meilleure amie. On s’est rencontrée pendant un shooting, et on ne sait plus jamais quitté. Par chance, elle est là pour moi constamment et me connait par cœur. Elle me connait sous mes mauvais jours et me supporte, malgré mes crises de nerfs et ma prétention démesurée. Ensemble, nous côtoyons des journalistes et adorons nous rendre dans les fêtes mondaines pour nous sentir toujours un peu plus exister. A seulement 23 ans, ma vie est tracée, il me manque juste quelqu’un avec qui me poser et construire une vie de famille. Mais j’ai l’impression que tout le monde me regarde pour mon physique, et ne cherche pas à me connaitre, c’est aujourd’hui que je commence à en souffrir et déchante peu à peu.