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| Sujet: « You bleed just to know you're alive » Abby Jefferson Lun 21 Déc - 2:03 | |
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Nom: Jefferson Prénom: Abby Âge: 20 ans Origine: Anglaise Métier/Étude: Ecrivain / Etudes de Droits Groupe: Why can't you see me ? Avatar: Kristin Kreuk
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Je ne suis pas jaloux, Je suis moi..
Attentive ; Altruiste ; Douce ; Entêtée ; Autonome Responsable ; Joyeuse ; Rêveuse ; Acharnée Sensible ; Naïve ; Taciturne Mystérieuse
Abby, ou le MNI (Membre Non Identifié) de la famille Jefferson. Cette jeune fille serait bien la seule personne qui oserait dire que l'argent n'est pas si important. Rien qu'en présence de son père, Abby se retient de dire ce qu'elle pense de ses affaires. Lui et son entreprise, une grande histoire d'amour. C'est pourquoi, on pourrait vite comprendre pourquoi, dès l'âge de 6 ans, la gamine savait se débrouiller seule. Même aujourd'hui, elle s'occupe de son petit frère d'un an comme s'il était son propre fils. Il faut bien, son père n'a jamais été là pour ses enfants. Abby n'a jamais voulu suivre l'exemple de sa famille. Jamais elle ne laisserait quelqu'un dans la misère, ses amis encore moins. Elle a bien comprit l'idée de "l'argent ne fait pas le bonheur", car pour elle, vivre dans une famille de "bourges" l'importe peu. Elle serait capable de se trouver un petit appartement miteux et de bosser en tant que simple barmaid ou serveuse, rien que pour prouver qu'elle serait capable de se débrouiller sans l'aide de papa. He oui, tout le monde croit que miss Jefferson est incapable de résoudre un problème sans l'aide de son papa chéri et de son chequier. Papa chéri, bien sûr... Son père est bien l'une des rares personnes avec qui Abby ne s'entend vraiment pas, lui et son entreprise. Il n'aura jamais comprit les choix de sa fille, il ne l'aura jamais aidé ou encouragé pour quoi que ce soit. C'est blessant, tellement blessant de ne pas avoir le soutient de sa famille. La seule personne de confiance qu'elle ait pu rencontré, c'est bien Angel. La fille du collègue de son père, sa meilleure amie, sa confidente, sa protégée aussi, en quelques sortes. Elles sont toutes les deux comme le jour et la nuit, le noir et le blanc, totalement opposées, et pourtant inséparables ! Seulement, leur relation est devenue légèrement plus tendue, depuis qu'Abby a réellement comprit ce qu'elle ressentait pour Angel. Elle n'a jamais été qu'une simple amie, ou même meilleure amie, elle était bien plus que ça. Bien évidemment, la jeune brune se gardera bien de lui avouer quoi que ce soit, par simple peur de perdre l'une de seules personnes qui compte réellement pour elle. C'est bien l'un des principaux défauts d'Abby, incapable de s'assumer. Elle se laisse bien trop marcher sur les pieds, beaucoups n'hésite pas à abuser de sa gentillesse, et la plupart du temps, Abby ne le remarque même pas, d'où l'aide d'Angel, qui la défend toujours.
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Ma vie est succession de péripéties.
| “ Aimer, c'est souffrir. Mais ne pas aimer, c'est mourir. ” « On vit... comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore... Chaque jour est l'inconsciente répétition du précédent: on mange autre chose, on dort mieux, ou moins bien, on baise quelqu'un d'autre, on sort ailleurs. Mais c'est pareil, sans but, sans intérêt. On continue, on se fixe des objectifs factices. Pouvoir. Fric. Gosses. On se défonce à les réaliser. Soit on ne les réalise jamais et on est frustrés pour l'éternité, soit on y parvient et on se rend compte qu'on s'en fout. Et puis on crève. Et la boucle est bouclée. Quand on se rend compte de ça, on a singulièrement envie de boucler la boucle immédiatement, pour ne pas lutter en vain, pour déjouer la fatalité, pour sortir du piège. Mais on a peur. De l'inconnu. Du pire. Et puis qu'on le veuille ou non, on attend toujours quelque chose. Sinon, on presserait sur la détente, on avalerait la plaquette de médocs, on appuierait sur la lame de rasoir jusqu'à ce que le sang gicle... » Ma vie, c'est ce que toute autre personne aurait sans aucun doutes souhaité avoir. De l'argent, des belles fringues, la célébrité... Et c'est justement ce que j'ai toujours fuis. Vous croyez sérieusement aux contes de fées ? L'argent vous pourri la vie. L'argent vous vole tous ceux à qui vous tenez plus que tout. L'argent vous remplace. J'ai toujours été le fantôme de la famille, les autres me regardaient comme si je venais d'une autre planète, simplement parce que je ne portais pas autant d'importance, voire même aucune importance à ce qu'ils appellaient, eux, leur essence. Les billets, les pièces, des chiffres, partout. L'entreprise de mon père a radicalement changé ma vie, ça, c'est certain, mais pas comme je l'aurais voulu. On peut effectivement dire que la création de son entreprise m'a définitivement effacée de la vie de mon père. Du jour au lendemain, j'ai dû me débrouiller seule, même mon grand frère était tombé dans cette dépendance. L'argent. Heureusement, elle était là. Elle, Angel. Le seul point positif dans la création de cette entreprise, ce fut l'entente avec son collègue, qui me permis de faire la connaissance de cette jeune fille, qui devint rapidement une grande amie, celle que je considérais comme une soeur, que je considère toujours comme une soeur, d'ailleurs. Angel et Abby, le jour et la nuit. Elle est ce que je n'ai jamais su être, et vice versa.
Nous avons passé notre enfance ensembles, comme deux jumelles, inséparables. Nous avons fait les 400 coups, et bien plus encore. L'absence de nos pères ne nous affectait plus tant que ça, puisque nous avions trouvé le moyen de nous changer les idées. Enfin, pour Angel, l'argent semblait avoir presque autant d'importance que pour ma famille, mais ce n'était qu'un détail... Vint ensuite le jour où je n'étais plus la même, intérieurement, du moins. J'avais 16 ans, lorsque j'ai commencé à me poser des questions sur moi-même. J'étais totalement perdue, pour la première fois, je n'osais pas en parler à Angel, parce que je sentais, au fond de moi, que je risquerais de faire une enorme bêtise, en lui faisant part de mes doutes. D'où le commencement de nos disputes. Angel ne semblait pas tellement apprécier le fait que je lui cache des choses, en sachant, que nous nous disions absolument tout, avant. J'ai commencé à me renfermer sur moi-même, les tensions étaient de plus en plus fréquentes entre elle et moi, jusqu'au jour où j'ai enfin compris ce qui n'allait pas chez moi. Ce qui avait changé, c'était mon amitié envers Angel. Ce n'était tout simplement pas de l'amitié. Il me fallut un an, pour comprendre que j'étais tombé amoureuse de ma meilleure amie. La nouvelle fut énormément difficile à digérer. Pour moi, il était impossible de lui en parler, d'en parler à qui que ce soit d'ailleurs. Et puis, à quoi bon, Angel passait son temps en compagnie de garçons, et j'avais bien trop peur de briser notre amitié.
Evidemment, Angel a bien remarqué que j'avais changée. Plusieurs fois, elle a tenté de me faire avouer ce qui n'allait pas, j'ai dû lui mentir, à chaque fois, j'en avais mal au coeur. Je trouvais pour seules excuses, la distance avec mon grand frère, qui me blessais, ou le fait que je ne sois pas appréciée dans ma famille. Ces sujets faisaient peut-être partis de mon mal-être, mais la principale raison était impossible à avouer. Et aujourd'hui encore, je continue de vivre avec ce secret. Angel et moi sommes toujours aussi proche l'une de l'autre. J'arrive tant bien que mal à supporter ces différentes conquêtes, avec le sourire. Cette situation me va, en sachant que si Angel devait apprendre la vérité un jour, notre amitié serait terminée. Pourquoi prendre le risque de lui dire, alors que je sais très bien que je ne peux rien attendre d'elle ? Passer mon temps avec elle est déjà un cadeau pour moi, un cadeau empoisonné... |
Je n'ai rien à envier... Mais pourquoi il se laisse tourner autour comme ça ?! Il était censé être avec vous ! Vous restez dans votre coin à ruminer, ou vous lui en faites voir de toutes les couleurs ? Jalouse, pour ça, oui, elle l'est, mais pas possessive non plus. En même temps, elle n'a pas tellement le choix. Si on parle plus principalement du sujet qui fâche, c'est à dire Angel, Abby n'avouera rien. Elle peut bien regarder sa meilleure amie se becoter avec son copain, elle fera comme si ça ne la touchait pas, bien qu'au fond, elle est anéantie. La jeune brune est plutôt du genre à souffrir dans son coin, plutôt que de taper une crise de jalousie, quite à se faire du mal. Elle a toujours été comme ça, à penser au bonheur des autres avant le sien. Non, pas pauvre Abby ! Elle a choisit de marcher ainsi, et certes, ce n'est peut-être pas le meilleur choix, mais c'est certainement mieux que de jalouser ouvertement le premier garçon qui oserait approcher Angel. Et puis de toutes façons, ce n'est pas comme si elles étaient ensembles ! Elle n'a rien à dire...
Cet héritage, il devait te revenir à toi ! Mais il a préféré lui donner, à lui... Alors ? Qu'est ce que ca fait ? Ah l'argent. Abby en est malade de ce mot, overdose, si vous préférez. Mieux vaut ne pas lui en parler, elle serait capable de s'emporter rien que pour avoir osé lui demander. Elle sait pertinemment que l'héritage de son père reviendra très certainement à son grand frère, son chouchou. Et croyez-le ou non, elle n'en a strictement rien à faire, si elle n'a droit à rien pour sa part. Elle passe son temps à dire à son père qu'elle est capable de se débrouiller sans lui, elle n'est pas handicapée qu'on sache ! Et elle adore travailler, ce n'est pas un problème, si elle devait passer jours et nuits dans un bureau, pour gagner son pain, elle le ferait sans broncher. C'est tellement mieux que de rester assis sur son canapé et claquer des doigts pour avoir un tas de billets. Si c'est ça la belle vie... Ce n'est pas la même définition pour Abby.
Il a eut une promotion ? Vous êtes plutôt du genre "il a du coucher pour l'avoir" ou " c'est vrai qu'elle a du potentielle... Mais qu'elle g*rce " ? Ni l'un ni l'autre. La jeune brune n'est pas rancunière ou même mauvaise perdante. Enfin, tout dépend de quelle façon l'autre s'y est prit, pour avoir cette promotion. Il est clair que s'il a passé son temps assit sur sa chaise à jouer au solitaire sur son pc, alors qu'elle a travaillé comme une esclave, la nouvelle sera beaucoup moins bien digérée. Mais encore une fois, Abby ne fera rien, la connerie des gens, elle ne s'en préoccupe pas. Elle tient énormément à son travail, alors du moment qu'elle le garde, c'est le plus important, elle sait qu'elle aura droit aussi à une promotion un jour ou l'autre. Optimiste et travailleuse, c'est tout ce qu'il faut ! Quand on enlève le masque... Ton personnage serait-il prêt a.... ° Séduire un(e) homme/femme riche uniquement pour son argent ? Non, elle a déjà ce qu'il faut. ° Sortir avec le/la petit(e) ami(e) de son/sa meilleur(e) ami(e) ? Non ° Mettre ses meilleurs amis dans le pétrin uniquement pour réussir ? Non ° Coucher pour avoir une promotion ? Non, pas besoin. ° Détruire la réputation de quelqu'un par vengeance ? Non, à moins que ce soit pour un(e) ami(e). ° Faire du chantage, même à ses amis ? Oui, mais rien de méchant. ° Travailler d'arrache pied pour être le meilleur ? Elle s'en fou d'être la meilleure, ce qui importe c'est que son travail plaise. ° Détruire les travaux de ses collègues pour avoir du mérite ? Non, pas de tricherie ! ° Pire, voler les travaux de ses collègues pour recueillir les mérites ? Non plus. ° Tuer quelqu'un pour de l'argent, pour une promotion ou pour une réussite scolaire ? Non ! ° En venir au poing avec son pire rival ? C'est possible, tout dépend de ce que l'autre a fait. ° Révéler des secrets sordides sur des amis pour les couler ou pour faire casser leurs couples ? Non, Abby est une vraie tombe. ° Engager un détective privé pour suivre ses rivaux potentiels ? Non, elle s'en fou. ° Ridiculiser ses collègues pour se sentir supérieur ? Non, ce n'est pas ce qu'elle cherche.Mais dit moi ... Qui es tu ? Pseudo ou Prénom : Joy Âge : 17 ans Comment as-tu connu le forum : Par Partenariat Que penses tu du forum : Le contexte est intéressant ! ^^
Dernière édition par Abby Jefferson le Mar 22 Déc - 0:17, édité 16 fois |
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